Qui suis-je? Me dis-je.
Où suis-je?
Un être omniprésent me répondit dans une langue que je compris mais qui était intraduisible
Il m'expliqua tout et si peu à la fois.
J'en su 3 chose.
1, que j'ai été créé après la fin de l'univers.
2, que je suis l'être éternel gris, celui du centre.
Et 3, que je ne peut décrire l'être autrement qu'avec ces deux lettre, Bô.
Je n'ai aucune idée s'il m'a créé car il avait besoin de mon existence, (si seulement il m'avait créé lui et non autres Être(s) infinitif(s)) ou si il m'a crée car c'est ce qu'il devait faire ou ce qu'il se devait d'arriver.
C'est au fil de ces réflexion que je suis atterris dans un endroit presque infinis au trois dimensions d'espace et une seule de temps. Pourquoi m'avoir restreint a un nombre de dimension je n'en sais rien, mais tout autours de moi étaient à me faire penser que je suis présentement en cette unité de temps (qui est selon cet endroit le 15 septembre 1967 à 15 heures 34 minutes et 27 secondes) dans une salle de bain.
Il y avait tout ces bâton que ces être qui me semble être Réjiens de la planète Réja ou comme iels aiment l'appeler la Terre, utilisent pour se brosser les os.
Toutes ces informations me viennent directement à l'esprit sans que je ne comprenne pourquoi elles me viennent, ni pourquoi y aurait-il lieu que des êtres se brosses les os avec des brosse à dents.
Oh, suis-je bête, ce ne sont pas des os, mais bien des dents.
Je me promène dans cet endroit où je tombe sur un miroir. Mon but n'étant pas de traverser la dimension miroir, loin de là. Je m'y approcha tout de même pour voir en quoi consistais mon apparences en trois dimension.
Moche, horrible, hideux(se), je suis dégueulasse.
J'ai des orifices partout, pour chaque sens mais aucune pour la pensée, j'ai des poils sur la tête, des poils sur le visage, des poils dans les orifices, des poils partout non mais je suis dégueulasse, je ressemble à ces réjiens.
J'entendis un cri à l'aide, encore une fois je ne sais pas quelle langue c'était, mais je peut la traduire pour une fois.
Je me rendit vers la créature qui se morfondait sur le plancher de sa cuisine. C'était une cuisine italienne. Pourquoi? Et bien, je me trouvais en Italie. Très inopportune comme situation.
Je m'approcha de l'homme mourant.
-Bonjour, je suis un être. j'informa l'humain.
-Ah bon, je n'avais pas remarqué?! Cria t-il d'un ton sarcastique. Mais est-ce que vous pouvez m'aider à aller à l'hôpital? Je crois que je suis en train de mourir!
-Je vois le sarcasme de votre phrase, la deuxième est-elle littérale? Lui répondit je, sans aucune piste qui pourrais me faire comprendre que <<Je crois que je suis en train de mourir!>> aurait la possibilité d'être littérale.
-Vous vous foutez de moi?! Aidez moi! Cria t-il toujours aussi hors de lui.
-Et moi vous vous en foutez?! Je viens d'être créé et je ne sais pas mon but. Allez vous m'aider à le comprendre? Bô viens de m'emmener ici, sans rien me dire autre que trois chose et je n'y comprends rien! Et pourquoi ai-je cette apparence!!
Oh, me dis-je à moi même, l'italien est mort.
Je mit mon visage juste au dessus du sien et non aucune respiration.
Il était mort, ayant comme seule compagnie moi, l'ai-je aidé à combattre le solitude, ou l'ai-je tué?
Je regarda sa cuisine n'ayant aucune idée de qu'est-ce que du basilic et je me dit.
Oh, du basilic frais, les fines herbes fraiches sont toujours meilleures que celles sèches.

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L'éternel; La mort
Ficção CientíficaUn être éternel qui poursuis la mort, en viens à essayer de retrouver son identité perdue du futur.