Apocalypse, 2:4 - Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu as abandonné ton premier amour.
/!\ - JE VOUS PRÉVIENS DÉJÀ, JE N'ATTAQUE AUCUNE AUTRES RELIGIONS.
- Excusez-moi pour les fautes d'orthographe et de ma traduction pas très nette.
- Les imag...
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Agnia
- Papa ! Criais-je en voyant que le cadre de ma mère avait disparu du salon
- Quoi encore ? Répondue mon père, Samir Kasongo.
- Ne vois-tu pas que quelque chose a changé au salon ?
Il soupire, dépose son téléphone puis enlève ses lunettes pour me fixer.
Samir : Quoi encore ? Tu t'es achetée des nouvelles chaussures ?
Il est sérieux là ?
- Non ! maman !
Samir : Comment ça ? Explique. Me dit-il en levant les yeux
- Il est où son cadre ?
Samir : Ah...
Il remet ses lunettes en même temps il saisit son téléphone.
Samir : Ça va faire dix ans que ta mère est morte Agnia, il faut l'accepter.
- Comment ça ? Tu te moques de moi ?! Lui hurles-je presque dessus. Et à qui tu écris ?
Je lui arrache son téléphone et vois qu'il discute avec une certaine Olivia Tumba.
Je regarde sa photo de profil WhatsApp de plus près et vois que c'est ma prof de Philosophie de mon année de terminale. Je peux voir qu'il ne discute pas de n'importe quoi, mon père était entrain de la draguer.
- Depuis quand...
Tout d'un coup, je sentis ma joue chauffée. Ce n'est pas vraie, il ne m'avait jamais touché comme tel.
- Tu m'as frappé ?
Samir : Il fallait bien te ramener les idées sur terre. Que ça soit bien clair, tu es chez moi et ma vie privée ne regarde que moi. Dit-il fermement en reprenant son téléphone
- Quoi ?
Samir : Tu as bien écouté. J'ai aussi prévu de demander Olivia en mariage.
- Hein ? Depuis combien de temps tu es avec elle ? Lui dis-je en retrouvant mon calme
Samir : On se voit depuis quatre ans et je suis heureux. Tu ne peux pas l'être pour moi ?
- Heureux ? Tu es fou ?
Je ne peux pas y croire.
J'ai cru que c'était lui et moi jusqu'à ce qu'il clamse mais ça sera maintenant lui, moi et ma prof de philo de ma dernière année secondaire.
- Tu veux une autre gifle ?
- J'ai besoin de respirer, on étouffe ici.
Samir : Qu'est-ce que tu racontes ?
- Ne m'attends pas ce soir, je reviens demain.
Samir : Je crois que je t'ai laissé assez de liberté. Tu as changé, je vais maintenant te montrer à qui tu dois le respect.