Je me relève et je vois le patron il nous a regardé méchamment et il est rentré dans le bureau
Ok Maya relaxe sava aller inch'Allah respire respire et respire
Ce sont les phrases que je me répétais dans ma tête
J'ai toqué à la porte du bureau mais personne n'a répondu du coup j'suis rentrée
J'avais même fait rentrer mon deuxième pied que quelqu'un me plaque fortement contre le mur c'était tellement violent que je croyais que mon dos était cassé
Moi : hey mais..
C'était ce connard mais qui d'autre ça pourrait être han je pense qu'avec lui je dois m'habitué à être plaqué au mur
Lui : déjà qu'tes en retard et tu te permets de te pavaner avec ton pd
Moi : mais de qui vous me parlez vzy wesh lâche moi
C'est comme ça parfois je vouvoie parfois je tutoie
Lui : écoute moi bien tes p'tits amourette à la pute avec Samir tu les laisses dehors c'est bien clair
Quand il a dit ça j'ai eu envie de vomir imagine Samir c'est comme si c'était Yahya ou Sulaiman vraiment c'est inimaginable
Moi : mais vous voulez bien me lâcher bon sang
Lui : Règles numéro trois tant que tu travaillera dans cet entreprise tu prendras les escaliers et non l'ascenseur
Moi : PARDON
Lui : t'as bien entendu si t'es pas contente tu es libre de démissionné
C'est pas que j'ai pas l'habitude de prendre les escaliers mais le bâtiment où nous sommes est constituée de 8 dalle et nous étions au dernier imagine se taper tous ça chaque matin mais si il y a une chose que je pouvais pas faire c'est démissionné en tout cas pas pour l'instant j'ai besoin de me prouver que je peux traverser n'importe quel obstacle et c'est pas 8 dalle ni ce connard qui va m'arrêter et puis y'a des enfants en Afrique qui marche plusieurs kilomètres pour pouvoir aller à l'école non de quoi pourrais-je me plaindre toujours dire hamdulilah
Je le regarde dans le noir des yeux avant tant de haine et de mépris t'as vu si tu veux exploser la tête de ton frère contre le mur mais que tu peux pas c'est ce que je ressentais
Il a fini par me lâcher et je suis partie m'asseoir avec difficulté j'avais l'impression que plus je m'arrêtais plus ma jambe elle me faisait mal
Il faisait maintenant une heure que j'étais au boulot je travaillais sur un projet j'étais vraiment trop concentré
Le connard : hey toi vas me chercher un café
J'ai regardé à droite et à gauche il n'y avait personne sauf nous deux et moi mon nom à moi c'est Maya pas hey toi
Lui : t'es sourde où c'est comment là
Moi : désolé mais c'est Maya pas hey toi
Lui : ok j'men fou ton blase à la conne là
Ok
Je vais pas me répéter j'suis pas du genre à toujours obéir mais parfois ravaler sa fierté c'est important je vais pas montrer à Aziz que ce qu'il dit me touche mais bien le contraire
Lui : tu passes par les escaliers* en regardant ma jambe* si jamais t'essaies quoi que ça soit n'oublie pas qu'il y'a des caméras partout donc c'est raté d'avance....un café sans sucre
Ok Maya vzy fonce je suis partie vers les escaliers je le ai d'abord bien regarder et je suis partie pour une marche interminable en tout cas pour moi
Dans la peau D'Aziz
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Le pouvoir de la persévérance * Mon Aziz* ♥️
Science FictionL'histoire vous parlera d'une orpheline et d'un homme très riche Ma persévérance et ma détermination me permettront d'atteindre mes objectifs Entre l'arrogance, la haine, la déception, la rancune, une amitié sans fin et bien sûr beaucoup d'amour Cet...