I-Une soirées presque habituelle

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CHAPITRE 1

15 Décembre 2022/ 21h33 New York

Je déteste cette saison, je déteste Noël, la raison est complètement égoïste mais je le suis.

Noël rend les gens joyeux et heureux. Ce que je suis incapable d'être.

Il est temps d'entrer en scène, c'est partie.

Je vais rentrer par cette grande porte et affronter la triste réalité de ma vie.

Ça va être rapide je rentre, je tue, je repars. Je devrais avoir l'habitude à force.

Putain Ellery arrête de réfléchir et fonce tout est pareil.

Sauf que c'est faux.
Elle est là.

Tu vas me dire que tu as peur ?

Pathétique

Ho toi ferme là.

Je regarde une dernière fois ce tatouage qui nous unis tous, ce mot qui renferme tellement de secret.

"Cont;inue"

Malheureusement je vous fait pas encore assez confiance pour vous en parler , mais ça viendra.

J'avance dans cette sublime robe noire.

Deux olsers accroché à mes cuisses contenant deux glock 17 chargé, la sécurité désactivée.

Je récupère les deux pistolets puis d'un coup de talon, j'ouvre les deux grandes portes en face de moi et tire en l'air pour attirer l'attention de tout ce beau monde.

Des mafieux, des avocats, des assassins, des banquiers toutes les personnes un peu fortunées de New York qui se réunisse.

La chose qui me marque en jetant en coup d'œil à la pièce c'est la décoration, de grands sapins dans les tons rouge et dorée disposés de pars et autre de la pièce, deux grands buffets sont disposés sur les côtés, des guirlandes lumineuses sont suspendues au plafond qui est totalement en verre et des branches de gui et des couronnes de houx sont accrochés sur les murs.

C'est splendide.

- Ça me désole de ne pas être invité. Vous avez de la chance je déteste les fêtes de Noël. Soit dites en passant la déco est magnifique. Tu as toujours été doué pour ça.

Je finis ma tirade avec mon flingue pointé vers elle.

-Lyly je suis vraiment désolé, allons en discuter s'il te plaît. Lâcha la blonde dans un sanglots

-Tu as perdu le droit de m'appeler comme ça le jour où LUI aurait aimé discuter. Et tes excuses tu peux les gardé, je n'en avais rien à foutre et c'est toujours le cas.
Je ne suis pas là pour toi, mais pour les deux guignols qui me doivent 50 000 dollars et qui pensent pouvoir s'en sortir indemne. Nathan je t'ai vue pas la peine de fuir.

Sans même me retourner une balle pars de mon arme et viens se loger dans sa cuisse.

Dans le mille.

Une autre détonation résonne mais elle ne vient pas de moi.

La balle me loupa.

A quelques centimètres près j'y passais.

Un homme s'avance vers moi. Ses cheveux bruns lui retombent devant les yeux.

-T'y étais presque Hugo mais je crois que la chance est de mon côté. Dis-je en montrant la balle qui c'était logé dans le mur.

-Qu es ce que tu fais la ?

-Je viens chercher mon argent, où est-il ?

Quand je finis de prononcer cette phrase sa respiration se coupe et mon flingue se retrouve dans sa direction.

-Respire, tu vas nous faire une attaque, je sais que vous ne l'avez pas.

Un serveur sort des cuisines avec un plateau rempli de coupes de champagnes. Il n'a sûrement pas vu que la fête avait été interrompue.

Je me déplace vers lui et prends une coupe de champagne, mon glock 17 toujours pointé sur Hugo.

-Médiocre, Math si elle est là, tu l'es aussi, veux-tu bien te montrer ?

Un jeune homme avec un smoking noir sort de la foule.

La première chose que je regarde chez lui ce sont ses yeux vert jaune, le reflet des miens.

-Ma très cher petite sœur, heureux de te revoir.

-Tu sais que tu n'as que deux minutes d'avance ?

Je bus une gorgé de champagne pendant qu'il s'avance vers moi.

Je lui tandis la coupe et le flingue qu'il garde braquer toujours sur la même personne.

Je réajuste son nœud papillon.

-Comment vont les parents ?

-oh comme d'habitude, mais ils t'en veulent toujours.

-Je ne reviendrais pas sur ma décision mais si il y a le moindre problème appelle moi.

Je lui reprends l'arme des mains.

-Bon il est temps pou moi d'y aller donc Hugo ce fut un plaisir de travaillé avec toi, je finis ma phrase en lui tirant une balle dans la tête. Nathan tu vas jusqu'à lundi pour trouver mon argent.

Je range mon arme et m'avance vers mon frère pour lui faire un bisou sur la joue.

Je claque des mains et une échelle décent du plafond en brisant le plafond de verre. Je m'agrippe sur cette dernière qui me remonte jusqu'à un hélicoptère. Je pris la route dans ce moyen de locomotion peu conventionnel pour rentrer chez moi.


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Voila c'est le premier chapitre.



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