Dieu est un salaud

« Pour elles, mais surtout grâce à elle A. »

Tout commença le jour où elle me

quitta, je sais cela n'a rien de drôle

ou de passionnant comme phrase

d'accroche, encore une histoire

chiante, à l'eau de rose qui

résultera sur un amour revigorant et grandissant par

la suite, mais je vous en prie

continuez à lire, ne vous fiez pas à

ce que vous avez déjà pu feuilleter

ou voir, faites-moi confiance, la vie

ne s'arrête pas à une rupture; non

non chers amis lecteurs, pour moi

elle débute avec plusieurs

autres... Bon commençons depuis

le début, c'est-à-dire à peu près à

l'âge où ma libido et ma sexualité

me démangeaient, j'étais,

comment dire ? J'étais un

amoureux transis, vous savez: un

amour ! Un seul ! En gros ? Un

connard, qui pensait que l'on

pouvait aimer une femme et une seule dans toute sa vie, est-ce

possible ? Peut être que oui, pour

ma part les femmes ne m'ont

jamais prouvé que cela puisse être

réalisable... Attendez si ! Une seule

a pu me faire espérer que c'était

possible, malheureusement, c'est la

femme qui vient de me quitter,

mais on y reviendra par la suite !

Bon reprenons, ma sexualité ?

Compliquée ! Je me rappelle la

toute première fois, un soir d'été,

une soirée arrosée (enfin pour

elle), à ce jeune âge je ne buvais

pas encore mais n'ayez aucune

crainte je me suis rattrapé par la

suite et même parfois à l'excès ! Un

matelas à même le sol, une blonde

sulfureuse pour son âge, mais avec

un prénom de merde, un prénom à

vous faire oublier sa beauté, un

prénom qui, je suis sur messieurs, vous aurait fait perdre la

sainte érection, mais moi ? Non !

Première fois que je baise, je ne

vais pas me mettre l'idée en tête

d'avoir une panne... Non, j'affronte

volontiers ce jeune corps,

passionnant, charnel, qu'elle en

devenait presque malsaine à force

de perfection ! Ses yeux ne

trompaient pas, son regard me

lançait un appel à l'adultère, avant