Chapitre 8: Fa freddo

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PDV: SANTOS

-Tu a vraiment du courage toi, mais ton courage de merde, tu l'as met bien profonde là ou je pense, et je te préviens que ce n'est que le début, car je suis bien assez gentil avec toi, je te laisse reposer pour le moment, parce que d'ici tu n'en sortira pas vivante et met ça dans ton putain de crâne que, c'est moi la police ici. Lui dis-je en fermant cette porte qui me casse déjà pas mal les couilles.

Je dois absolument trouver la planque de cette putain de drogue et ce putain de connard qui a osé y mettre la main dessus.

Et pour cela j'ai en peu besoin d'elle.

Et ensuite je tuerais cette nana au yeux bleu, juste après avoir trouvé cette foutu coke et le voleur en question.

Je monte ces escaliers en béton ciré jusqu'à la sorti gardé par mes gardes, ils me saluent d'un signe de la tête à l'unisson mais je ne suis absolument pas dans mon état habituel aujourd'hui. Alors je traverse le salon pour emprunter l'escalier principal sans les accorder un second regard.

Et arrivé au deuxième étage, je me dirige vers ma chambre, j'en ai que pour quelques secondes, j'ouvre cette porte en prenant mon pistolet posé sur ma commode et qui se trouve maintenant derrière mon pantalon caché par ma chemise blanche et je dépose le couteau sur la commode, puis je ressort.

Je redescends les marches jusqu'au rez-de-chaussée où se trouve mon bureau et à mon arrivée, je vois ce crétin les pieds posé sur cette table.

Ma table! Entrain de fumer tranquillement.

-Je t'ai déjà dit d'arrêter de fumer ici connard de mes deux, en plus en mettant tes foutu sale pattes sur MA putain de table. Lui dis-je en le fusillant du regard.

Et il a bien prît soin de les enlevés d'une lenteur à m'énerver encore plus.

-Si tu n'étais pas mon putain de bras droit, je t'assure que j'aurais eu aucun problème, à te collé une balle dans ton foutu crâne. Lui dis-je en attrapant son col.

-Non, tu n'aurait eu aucun problème si je n'étais pas ton frère, en plus de ça tu m'aim...

-Ferme ta gueule putain! Et au lieu de raconter de la merde, dis-moi plutôt où on n'en est.

-Calme toi monsieur Fernandez, je voulais jus...

-Ferme là! Liam est-ce que j'ai vraiment l'air de rigoler là? Qu'est-ce que vous avez trouvé putain!

-Okay je vois que...

Juste un regard un seul pour qu'il redevienne sérieux sur ces propos, il jeta son mégot de cigarette dans le cendrier en se redressant. Puis il fut sortir de sa poche, des photos.

Il les déposa sur la table tout en m'expliquant:

-Ils y a des hommes qui l'ont vue à Firenze, ce bâtard faisait ces courses tranquillement à Montezemolo pendants notre absence, il a dut prendre des affaires pour quitter cette ville. Et en me montrant une autre photo il continua: Là il se trouvait à l'hôtel Piezza Novana, mais plus maintenant parce que ce fumier s'est évaporé en un claquement de doigts sans être vue.

-Il ne l'a pas pût faire tout seul, il doit sûrement avoir un où des fils de putes qui l'aident dans ses déplacement. Et parmi ces fils de pute, il doit y avoir un qui nous connaisse parce que ce n'est pas normal de se déplacer à chaque emplacement qu'on trouve sans qu'on ai eu le temps d'intervenir avant. Dis-je en me grattant la tête d'énervement.

TU CULPAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant