une louve, une humaine, une vie

chapitre 1

Coucou, les louveteaux !

Vous permettez que je vous appelle : "les louveteaux" ? Mais oui, de toute façon, vous n'avez pas le choix... :P

Je désolais d'avoir été longue à faire la mis à jour de l'histoire >.<

Voilà celle du premier chapitre, le second arrive dans pas longtemps. Je posterais les modifications peut-être ce week-end ou le prochain cela dépendra du temps que j'ai entre les révisions du concours que je vais bientôt passer et mes cours x)

Sur ce j'espère que les modifications vont vous plaire, n'hésiter pas à laisser une petite note si ça ne vous plaît pas à la fin ou une étoile si c'est le contraire :)

Bisou les louveteaux <3
Et surtout bonne lecture

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-Marie ! Revient ! Marie !

-Va te faire foutre ! Criai-je en courant vers la forêt.

La forêt était sombre, mais la lune envoyée ses rayons qui passer àtravers les feuilles permettant ainsi de voir où je mettais les pieds pour ne pas trébucher.

Je courais pour échapper à Bryan et mon père qui essayait de me rattraper. Par chance, je faisais partie du club d'athlétisme avant mon déménagement, j'en étais même la capitaine, une de mesgrandes fiertés, je dois l'avouer. J'avais même fini plusieurs fois sur le podium au championnat scolaire, j'étais rarement à la seconde et troisième place.

Au bout d'un certain temps, je décidais de m'arrêter pour reprendre mon souffle et regarder l'heure sur mon portable...

Qui est actuellement en train de recharger sur le bureau de ma nouvelle chambre...

Mais quelle conne ! Pourquoi ai-je réagi de façons impulsives et irréfléchies ?

Pourquoi il faut que je sois si têtue? Maintenant même si je voudrais rentrer, je ne pourrais pas, je n'ai aucun repaire dans cette forêt!

Pour me calmer et mieux réfléchir pour faire le point, j'utilise la seule technique efficace que je connaisse :

Lentement...

Les yeux fermé...

J'inspire...

J'expire...

J'inspire...

J'expire...

Et je faire le vide ...

Au bout de deux répétitions, je me sens calme et sereine comme si tous mes problèmes avaient disparu pour un instant.

Je commence donc à regarder plus en détail ce qu'il m'entoure, face à moi se trouve un petit ruisseau, où sur l'autre rive une biche et son petit s'abreuve, ils prirent la fuite en m'apercevant. Contrairement à tout à l'heure la lune qui est pleine éclaire parfaitement le lieu, envoyant ses rayons ce reflété dans l'eau, ce qui donnait l'impression quand face de moi se trouver un tableau vivant. C'était juste splendide. Et pour couronner le tout, l'odeur et la fraîcheur de l'automne, donnée de la magie à ce lieu plein d'histoire.

Dû à la fatigue de ma course et aux événements de plutôt, je m'installe au pied d'un arbre pour réfléchir à ce qui est arrivé plutôt comme à ma vie avant le déménagement, à mes deux meilleurs et à ma forêt qui était semblable à celle-ci. À une différence près : je la connaissais comme ma poche, je pouvais y retrouver mon chemin les yeux fermés. Mes amis et moi passions le plus clair de notre temps là-bas, il y avait d'ailleurs un endroit que nous chérissions comme la prunelle de nos yeux, c'était notre refuge, à tout les trois...

*****

Je me réveille en laissant échapper un énorme bâillement et en m'étirant les bras le plus loin possible, sans m'en rendre compte,j'étais tombé au pays des songes, où je rêvais de nous trois.

J'eus un sursaut après avoir entendu des mouvements dans la forêt. Instinctivement, je me levai et restai sur mes gardes. Les oreilles à l'affût du moindre bruit, mais rien... aucun bruit seul l'écoulement du ruisseau et le bruit du vent arrivé à mes oreilles. Je me sentais observé par un regard lourd, pesant. Quelqu'un ou quelque chose me regarde intensément

-QUI EST LA ? Criais-je dans l'espoir d'avoir une réponse, mais la seule chose que j'eus fut la confirmation que quelqu'un était bien là.

-MONTREZ-VOUS !

Aucune réponse et je ne vois toujours personne, mais ça fait plusieurs fois maintenant que j'entends ces craquements.

Une respiration ou du moins, ce qui semble être une respiration commence à se faire entendre de plus en plus, elle et lente et régulière,plutôt forte et lourde. Un horrible pressentiment s'empare alors de moi, la peur prend possession de mes muscles qui tremblent, face à ce qui vient d'apparaître devant moi.