Chapitre Dix-huit.

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𝐈 + 𝐈𝐈 = R.

« La délivrance la liberté. Jésus me l'a donné cadeau »

Côte d'Ivoire 🇨🇮.
Cocody'hospital.
19h00.

- 𝐒𝐇𝐈𝐋𝐎𝐇 -



C'est maintenant l'heure pour moi de quitter l'hôpital. Ma mère m'a ramené des vêtements de rechange.

C'est Noâm qui va me déposer chez moi. Divine n'est pas venu une seule fois depuis hier.

Il culpabilise ?

Shamma — C'est quand même bizarre qu'il ne soit pas venu depuis. Toutes ces deux semaines il attendait ton réveil mais lorsque tu te réveilles il se barre. Il est bizarre.

— On ne connait pas réellement les intentions des gens. Qui sait ? Il jouait peut-être la comédie.

Shamma — Non je crois pas. Il aurait fait ça pour quoi ? Prouver que c'est le meilleur mari du monde ? Moi je dis que s'il a été là pour toi pendant ce temps c'est qu'il était vraiment sincère.

J'y crois pas. Il a essayé de me tuer.

— Où sont les mamans ?

Shamma — Elles sont parties. Moriah aussi est rentrée. Elle devait s'occuper de Strate et Melchior.

— Ohh. Ça fait longtemps quand même avec les garçons.

Shamma — Ils t'apprécient je crois parce qu'ils s'inquiétaient.

— Ça fait plaisir à entendre.

Lorsque nous sortons de l'hôpital et que nous prenons le chemin vers le parking.

Je vois de loin Noâm adossé sur sa voiture.

Shamma souris immédiatement.

Eh !

J'ai raté des choses.

Le pire c'est que Noâm fait de même.

Ahh boon !?

Noâm — Bonsoir.

— Bonsoir Noâm. Ça va ?

Noâm — Dieu fait grâce.

Dit-il avant de regarder Shamma.

Shamma — Salut.

Noâm hoche la tête.

« 𝐍'𝐃𝐎𝐖𝐀 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant