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↜chapitre cinq↝
DÉCIDÉMENT, KATSUKI ALLAIT EXPLOSER DE RAGE À N'IMPORTE QUEL MOMENT. Alors qu'ils venaient à peine d'arriver devant le jardin qui entourait la maison de Koharu, Mitsuki, la mère de Katsuki, appela Koharu disant qu'il devait passer la nuit chez les Bakugo. Comme on s'y attendait, Katsuki n'était pas du tout d'accord, mais Koharu avait accepté de passer la nuit chez eux (sa famille). À l'heure qu'il est, ils étaient assis tout les deux dans le salon, alors que Mitsuki préparait le dîner. Elle était très inquiète pour Koharu, voyant que celui-ci était blessé, alors elle lui demanda de ne rien faire et de se reposer.
- Je peux savoir pourquoi tu es en colère...?
Katsuki : JE NE SUIS PAS EN COLÈRE !
Mitsuki : KATSUKI ! NE CRIE PAS SUR KOHARU !
Katsuki : LA FERME VIEILLE PEAU !!
Soudain, sa mère arriva par derrière et lui donna un coup sur la tête.
Katsuki : ITTAI ! ÇA VA PAS ?!
Mitsuki : FILS INDIGNE ! NE PARLE PAS À TA MÈRE COMME ÇA !
Elle se tourna vers Koharu qui les regardait calmement d'un air indifférent.
Mitsuki : Koharu mon chéri, s'il te dérange tu peux monter à l'étage pour être tranquille.
Katsuki : COMMENT ÇA JE LE DÉRANGE ?!
- Non pas la peine...je préfère rester avec Katsuki.
Mitsuki : C'est comme tu veux ! Dit-elle en s'en allant vers la cuisine.
Katsuki : Elle fait chier putain...
Il soupira bruyamment avant de s'allonger sur les genoux de son petit ami en croisant ses mains derrière sa tête. Koharu baissa sa tête pour le regarder. Il mit sa main sur ses cheveux blonds et les caressa.
Katsuki : Hé...tu dis rien à ces idiots.
- Que tu me proclamais à toi alors qu'on avait que quatre ans ? Non t'inquiètes.
Katsuki : Tsk...et c'est toujours le cas. Dit-il en murmurant la dernière partie.
Mitsuki les appela pour qu'ils l'aident à dresser la table avant l'arrivée de son mari, Masaru Bakugo. Katsuki grogna et se leva avec Koharu. Ils dressèrent la table et entendirent quelqu'un entrer.
Masaru : Bonsoir ! Oh- Koharu ! Comment tu vas mon garçon ?
- Bien, merci...Dit-il en s'inclinant.
Masaru : Mais non pas la peine ! On est une famille après tout. D'ailleurs j'ai vu ce qui s'est passé aux infos, vous n'avez rien ?
