toi IV

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Tu n'appartenais à aucune constellation

Fuyante aux bras d'argent,

Quelle idée de penser que tu puisses rester immobile au milieu des sœurs

Tu cherchais le mouvement, les instants de rupture

Dans nos nuits aux reflets de lune, je te sentais partir vers un ciel que je ne connaissais pas

Je t'aimais tant, je ne m'en souciais guère,

Je te voulais près de moi, je voulais la fin de la guerre

Dans nos nuits sans lumière, tu te laissais glisser,

Ta peau sur ma peau, j'aimerais tant y goûter,

Encore une seconde s'il te plait

Ne pars pas tout de suite

ChuteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant