Chapitre sans titre 7

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Le réveil sonna brillamment et réveilla Yann en sursaut, il regarda leur et affolé sauta du lit. Il avait dormi dix minutes de trop, il allait rater le métro. Le jeune homme fila à la douche et se prépara à la vas vite, il ne mangea même pas de petit déjeuner. Avant de partir, il alla dans la chambre de sa petite sœur qui dormait encore et lui embrassa délicatement le front, il s'alla sa mère et claqua la porte en sortant. Pile poil à ce moment il manqua de percuter Louna il s'excusa avant même de remarquer sur qui il était tombé. Louna soudain rigola et lui proposa de l'accompagner jusqu'au cours. Sur la route la jeune fille hésita mais lui demanda comme me

Tu ne m'as pas donné ton numéro. Dit-elle d'une voix transplantée et hésitante.

Nous sommes en novembre, ne t'indique pas que tu le connaîtras bientôt. Dit-elle

Louna n'avait pas bien compris ce que Yann lui avait dit mais bizarrement le lui fit confiance. Ils prient dans le métro, le bruit était tellement fort qu'il devait communiquer par message. Louna écrivait dans ses notes « Il y a beaucoup de monde » et lui répondait « vraiment beaucoup ». Parfois leur réponse était tellement hilarante qu'ils explosent de rire. Arrivés à destination ils entrent dans la salle, à côté de la porte était adossée Avril la pire ennemie de Louna, elle la regarda de haut en bas et poussa Louna sur les côtés avec son épaules et se mit à discuter avec Yann qui n'avait pas l'air ravie.

Tu l'as connu ? je suis sûr qu'elle est venue te coller quand tu es arrivé sinon moi s'est Avril lui dit-elle.

Louna attrapa Yann par le bras et ils retournèrent s'asseoir à leur place tout vivant de la dernière fois. Actil regarda sa concourante d'un air furieux. Louna était donc obligée de raconter ce qui c'était passé à Yann qui ne comprend visiblement rien. Pendant qu'il discutait un jeune homme entra dans la salle et se présenta d'une voix grave

Bonjour tout le monde, on s'assoit et on se tait. Je suis le remplaçant de M. Parque qui est malade. Sortez vos croquis tout de suite.

La classe ne savait pas quoi dire, ils prient sans comprendre leurs devoirs et les montrent au professeur. Après de nombreux

Piètre présentation d'un musée, peut mieux faire, on a tu dénicher cela dans une poubelle une horreur soudain il s'exclama MAGNIFIQUE.

Toute la classe se regarda, Yann venait de montrer ses dessins à l'homme et il avait aimé.

Les traumatismes du passé effacer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant