Chapitre 4

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À présent

Leylanye se réveille et fait sa routine qui est se préparer, petit déjeuner pour son père et le fameux mots pour lui rappeler de prendre ses médicaments afin de pouvoir aller travailler au restaurant jusqu'à dix-huit heures ; et rentra enfin chez elle pour les mêmes choses mais aujourd'hui sa petite routine et sa vie bien rangée va peut-être changer .

C'est à dix-neuf heures trente après avoir préparé le dîner qu'elle remarqua que les provisions s'épuisent et les produits ménagers sont presque terminés alors elle décide d'aller au supermarché afin de restaurer la maison .

- Je vais au supermarché papa j'arrive dans une petite heure . Prévient-elle à son père pour ne pas l'inquiété .

- D'accord ma chérie tu ne veux toujours pas d'accompagnement ? Lui questionne-t-il afin de pouvoir sortir lui aussi .

- Je te vois venir papa , mais la réponse est et restera toujours Non . Je ne veux pas te voir faire des efforts alors que tu es malade . Dit-elle fermement .

Sur c'est mots dites ferme elle quitte la maison et se rend au supermarché . Leylanye à toujours été une fille innocente ainsi qu'imprudente son père l'a toujours dit d'éviter la ruelle lui permettant d'atteindre le supermarché plus vite mais elle n'écoute pas et continua à aller dans cette ruelle ; aujourd'hui elle n'y fit pas exception .

Elle marcha la tête dans le vide jusqu'à ignorer ce qui se passe autour d'elle ; c'est quand elle entend le hurlement strident d'un homme en souffrance qu'elle sorti de sa torpeur et sursauta jusqu'à crier aussi , alertant les personnes responsables du drame .

- Je croyais avoir dit de boucler cette ruelle . Dis Abel calmement alors que tout son être brulait de courir voir qui est l'origine de cette voix .

- Nous l'avons fait patron . Répondirent-ils en cœur. La voix tremblante , car ils savent clairement que leurs patron ne parle jamais sans conséquences .

- Je vais aller vérifier patron et exterminer moi-même cette menace . Dit l'un de ses subordonnés .

Soudain Abel ressenti cette élan de possession lui prendre les tripes ainsi que son instinct qui lui dit d'aller voir et ne pas laisser la personne partir. Et Dieu seul sais q'Abel écoute toujours son instinct comme lui a appris son vieux père .

- Laisse je m'en charge et débarrasse moi de ce corps . Dit-il simplement .

Il s'en alla s'en dire plus et ne tarde pas à trouver l'objet de son instinct , commençant d'abord par l'analyser ; la silhouette bien proportionnée ainsi que les cheveux longs , tout ces détails lui rappelle la petite d'y il y a treize ans .
Mais assez ! Tout est du passé maintenant et en plus il a l'âge d'être son grand frère alors pas besoin de fantasmer sur une enfant . Se dit-il intérieurement .
Arrivée à la hauteur du corps figer il la plaqua aussitôt afin que la proie ne s'échappe pas ainsi que faire le moindre mouvement qui pourrait l'énerver et lui renverser sa substance préféré .

- Dorogoy moy , ty poteryalsya ? Demande-t-il d'une voix doucereuse .

Leylanye a l'entente de cette voix frissonna de tout son être et se maudit maintenant d'avoir désobéis à son père car elle savait qu'elle allait le regretter et que cette rencontre va bouleverser son petit monde parfait .

- Ou ... oui je me suis perdu . Bégaya-t-elle d'une voix  tremblante tant la peur lui prenait les tripes .
Mais maintenant je vais juste faire demi-tour et rentrer chez moi . Dit-elle en essayant d'échapper à la situation qu'elle venait de se mettre .

- Très bien , mais d'abord je vais te ramener afin que tu me suives . Compris ? Dit-il toujours la voix douce .

- Vous suivre ma...mai...mais pourquoi ? Demanda-t-elle soudain prise d'effroi .

- Taisez-vous et rentrez chez vous afin que vous puissiez prendre vos affaires et qu'on parte ensemble dorogoy moy . Dit Abel froidement perdant patience .

Effrayé Leylanye se voit dans l'obligation d'exécuter l'ordre donné ayant peur pour sa vie et celui de son père . Abel lui , la dévisagea afin de voir si oui ou non il a bien fait de la prendre avec lui ; son instinct lui dit que oui mais sa raison lui demande de laisser cette petite colombe rentrer chez elle sans le moindre mal .
Malgré la peur Leylanye le pousse afin de passer lui sur ses talons sans la lâcher d'un mettre d'écart , sans qu'elle ne le voit il tourne sa en direction de ses hommes et silencieusement ils comprirent se que tous doivent faire pour ne pas subir ses foudres et mourir pour rien .  Arrivée devant la maison Leylanye s'empresse de rentrer mais c'est s'en compter sur l'homme qui lui aussi vif réussi à faire barrage avec son pied afin de ne pas la laisser fermer la porte .

- Tu sais que tu ne peux plus m'échapper n'est-ce pas ? Questionne-t-il . Et puis-je savoir ton prénom. Demande-_il d'une voix autoritaire . Tout en rentrant dans la petite maison .

- Ley...Le...Leylanye . Parvint-elle à dire la gorge serrée.

- Leylanye , Leylanye . Répète-t-il la voix chargée de mystère . Vas préparer tes affaires ensuite nous partons. Changea-t-il brusquement de voix. C'est-à-dire froid.

Pendant tout le temps le père de Leylanye lui était assis là où elle l'avait laissé ; et ne s'attendait sûrement pas la voir venir dans le petit salon accompagné d'un homme effrayant, type d'homme qu'il a passé sa vie à la protéger pour la garder pour un homme meilleur. Alors méfiant il le regarda et ses yeux s'écarquille surprise en reconnaissant l'homme devant lui qui lui ne tardait pas à faire le lien.

- Bonsoir. Dit-Il d'une voix amusante. Heureux de vous revoir. Parle-t-il toujours amusé de la situation.

Mon Papillon vert ( en pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant