La poupée

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La poupée

Elle est assise sur le lit, droite comme un I, tête baissée, mains sur les cuisses elle attend. Il se plante devant elle, les mains dans les poches de son pantalon noir, les manches de sa chemise retroussées sur des avant bras musclés. Il la prépare pour ce soir, il l'a prévenue, elle n'a pas son mot à dire, ce soir, il joue à la poupée. Elle a juste à se laisser faire, sans un mot, sans un refus, ce soir il joue. Il se baisse, place une main sous ses cuisses une autre sous ses bras la soulève et l'emmène dans la salle de bain .Là, il la remet sur ses jambes et entreprend de la déshabiller. Il fait glisser les bretelles de son caraco sur ses bras, le descend sur sa taille, elle ne porte pas de soutien gorge et sa poitrine le nargue. Il défait le bouton de sa jupe, fait glisser la fermeture, agrippe l'élastique de son string et d'un geste sec fait redescendre le tout le long de ses jambes. Il lui soulève un pied, puis l'autre attrape les vêtements pour les jeter dans un coin. Elle se retrouve dans le plus simple appareil devant lui, elle ne bronche pas, elle n'a pas intérêt. La regardant de ses yeux noir d'orage, de ce regard qu' elle n'ose jamais défier, il la contourne tout en l'inspectant, il sait qu'à l'intérieur elle tremble, il le remarque aux mouvements imperceptibles de tout son corps. Se plaçant derrière elle, il soulève ses cheveux pour dégager sa nuque, les attache en queue de cheval et en profite pour tirer dessus et amener sa tête au niveau de son cou et lui mordiller le lobe de l'oreille. Il trace avec son index le dessin de sa colonne et descend doucement juste en l'effleurant jusqu'à la naissance de la raie de ses fesses et un peu plus bas sur cette petite ouverture qu'il n'a pas encore explorée mais qu'il a bien l'intention de visiter ce soir. Il la sent se raidir discrètement et du plat de la main sèchement lui assène une claque sur les fesses. Elle se mord les lèvres et se retient de sursauter, ne surtout pas réagir sinon ce sera pire, elle le connait. Il se replace devant elle, elle a eue le temps de redonner a son visage ce masque neutre qu'il veut qu'elle ai. De ses deux mains, il lui attrape brutalement les té...tons et se met a les tirer tout en la regardant, satisfait de son manque de réaction, il les masse doucement afin d'atténuer la douleur, il sait qu'il y va fort mais ce soir il s'en moque, il veut la pousser à bout, il sait que ça lui coute de ne pas réagir , mais il n'en tient pas compte ce soir il joue avec sa poupée. Après avoir fait rouler ces deux bouts de chairs durcis entre ses doigts, il malaxe ses seins comme de la pâte à pétrir, elle a toujours le regard baissé et ne dit rien. Doucement, il change de cap et se dirige, lentement vers le bas de son corps, là où il sait trouver une humidité particulière, il effleure son ventre, contourne son nombril avec lequel il joue quelque instants, redescend encore plus bas, s'arrête sur son pubis et sourit. Sa respiration s'est accélérée, sa poitrine s'est gonflée, ses mamelons ont foncés, elle est excitée. Très bien la partie peut commencer. ll s'est arrêté sur son pubis, effleure la petite toison qu'il veut qu'elle garde, petits poils courts ras, tout doux sous sa paume. C'est lui qui l'a rasée de près quand il a acceptée sa demande, il n'y avait pas longtemps qu'elle était sa soumise quand un soir il était entré dans la chambre et lui avait ordonnée d'enlever son string et de s'allonger en écartant les cuisses au maximum. Elle avait obéi sans discuter, s'était allongée et avait ouvert en grand ses jambes, sans savoir ce qu'il allait faire. Il était partit dans la salle de bain et en était ressortit avec une grande serviette, un petit bol remplit d'eau, une espèce de gros pinceau et un rasoir, elle avait ouvert de grands yeux étonnés, s'était relevée sur ses coudes et l'avait regardé s'installer sur un petit tabouret au bord du lit, en lui disant de se rapprocher le plus possible de lui, une fois fait, il avait appuyé sur ses cuisses pour avoir un meilleur accès à son sexe. Il avait ensuite trempé le blaireau dans l'eau, l'avait plongé dans une mousse blanche et s'était amusé a lui passer sur sa fente. Elle s'était rallongée et avait commencée à apprécier le doux glissement sur sa chatte. En proie à l'extase du moment elle avait fermée les yeux quand il lui avait ordonné de les rouvrir et de regarder ce qu'il faisait. Se redressant elle ne l'avait plus quitté du regard. Il avait l'air d'apprécié ce qu'il faisait, ses gestes étaient lents, calculés, mesurés, il appuyait plus que nécessaire et faisait exprès de taquiner son clitoris.A près avoir enlevé le surplus de mousse car vraiment on ne voyait plus sa toison, il s'était armé du rasoir et avait commencé son petit travail en lui disant de se tenir tranquille, il ne voulait pas lui faire mal, elle s'était donc rallongée, de cette façon il lui était plus facile de contrôler son corps.. Consciencieusement, il avait rasé ses grandes lèvres en passant son doigt afin de vérifier son travail, il lui avait demandé de soulever son fessier afin de constaté si tout était bien net et en avait profité pour caresser son petit trou, il savait qu'elle était craintive de ce côté mais il lui avait formellement dit que de toute façon elle allait en passer par là aussi.Son examen terminé, il avait essuyé la mousse qui était restée dans ses plis et regardé son oeuvre, il était satisfait, elle était douce et lisse, toute rose du feu du rasoir et son clitoris pointait son nez sous son petit capuchon, il avait passé un doigt a l'intérieur de ses petites lèvres et constaté qu'elle était mouillée, cette petite séance de rasage l'avait émoustillée et pour être franc, lui aussi s'était sentit à l'étroit dans son pantalon. Il lui avait juste laissé un petit triangle qui pointait juste à l'entrée de sa vu.ve. Ce petit triangle de poils noirs ressortait sur sa peau blanche et le faisait bander a chaque fois qu'il y pensait, c'était stupide il le savait mais ne pouvait s'en empêcher. Mais revenons à l'instant présent, dans la salle de bain où il l'a déshabillée et où il va jouer avec son corps, car il veut que sa poupée soit propre, sente bon, soit bien coiffée et quoi de mieux que de faire tout soi même, n'est ce pas. Donc elle est là debout devant lui, d'un geste sec du pied il la force à ouvrir les jambes, lui attrape les bras et lui fait croiser les mains sur le haut de la tête ce qui a pour effet de remonter sa poitrine,il inspecte la position, la redresse lui fait cambrer les reins pour faire ressortir ses fesses qu'elle a bien arrondies. La position lui convenant, il se tourne vers la grande baignoire en émail blanc, ouvre les robinets, constate la chaleur de l'eau et la laisse se remplir. Tranquille, il revient vers elle, les mains toujours dans ses poches, se plante à quelques centimètres de son visage et commence a lui mordiller la lèvre inférieur, elle fixe le mur d'en face et imperturbable ne bouge pas. Il veut jouer, mais il veut la forcer à bouger et à désobéir, ce n'est pas fair play mais il n'est pas là pour jouer au gentleman, arrivera bien un moment où elle va flancher. Sortant ses mains, il commence à s'insinuer doucement là où il sait trouver moiteur, et chaleur, la caresse en de doux va et vient langoureusement tout en la regardant et en lui mordillant l'oreille là où il sait qu'elle est sensible. Il lui murmure des mots salaces, passe son autre main sur la raie de ses fesses, introduit son majeur à l'intérieur tout en introduisant l'autre dans son va...gin, elle respire un grand coup et se raidit, Il est plus grand qu'elle d'une bonne tête, et tout en la doigtant, lui susurre des mots crus dans l'oreille, elle commence à trembler mais réussit a se contrôler. Elle essaie de contenir le plaisir qui commence à bruler son ventre, d'endiguer ce tourment qui fait gonfler ce petit bouton de chair, elle sent le fruit de sa passion lui couler sur les cuisses et ses jambes qui commencent a trembler. Elle a peur de ne pas réussir ce test, car pour elle, il veut la tester. Sa gorge qui n'est plus sous son contrôle laisse sortir de petits gémissements plaintifs qu'elle essaie de stopper aussitôt. Son corps entier se tend même si elle sait qu'il ne lui donnera pas ce qu'elle veut et ce qu'elle craignait arrive, il stoppe ses caresses, tend sa main, lui dit d'ouvrir la bouche, insère son doigt à l'intérieur et lui dit de sucer, ce qu'elle fait de bonne grâce tout en évitant de refermer ses cuisses l'une contre l'autre tant son entrejambe se rappelle à elle. Satisfait de son obéissance, il plaque une main dans son dos et la dirige vers la baignoire qui s'est remplie entre temps, la prend dans ses bras et la dépose sur le fond. Une fois calée, il lui demande de baisser les bras et entreprend de se déshabiller pour son plus grand plaisir, elle aime le voir nu, il est très bien proportionné, musclé mais pas trop, juste ce qu'il faut pour lui donner une belle silhouette. Une fois prêt, il enjambe le bord, s'installe en face d'elle et l'observe. Elle ne bouge pas et ne lève pas la tête, il sait que cela lui coute, mais il ne reviendra pas sur ce qu'il a dit, pas d'initiative, pas de gémissements, rien. Il lui dit de venir se caler contre lui, dos à son torse et de ne pas lever les yeux, il attend qu'elle se place en étendant ses bras sur le bord de la baignoire, et une fois qu'elle a trouvée sa place lui écarte les jambes avec ses pieds, la baignoire étant d'un taille très au dessus de la moyenne, cela l'ouvre largement.il attrape le loofah d'une main et le gel douche de l'autre et entreprend de la laver doucement, la fibre végétale étant sèche, le but n'est pas de l'écorcher vive.D'une main,il lui empaume un sein, pince le petit bout de chair entre ses doigts, le griffe, malaxe, tire, tandis que de l'autre tout en frottant sa peau, il descend vers son pubis qu'il effleure lentement, pour sournoisement s'infiltrer entre ses cuisses et effectuer des va et vient sans appuyer sur ses chairs pour ne pas la blesser.Elle sent la texture rêche du gant sur sa féminité, il fait attention, elle le ressent dans son geste, il appuie juste ce qu'il faut quand il remonte sur son petit bouton qui devient très sensible, il l'excite, remonte sur ses membres, passe le loofah à l'intérieur de ses cuisses qu'il lui demande de remonter et de poser sur le bord de la baignoire, il continu de la laver un moment, sa peau est rouge et elle a l'impression que tout son corps brule, il a réussit rien qu'en passant une éponge sur sa chair à réveiller des milliers de petites étincelles qui commencent à mordiller sa peau et elle se demande comment elle va faire pour réussir a ne pas jouir.Il la tenait serrée contre Lui et elle pouvait sentir son sexe ferme contre ses fesses.Il continuait de la caresser et le besoin de jouir se faisait de plus en plus pressant.Elle se retenait de le supplier sachant très bien qu'il n'apprécierait pas .Son ventre commençait à gronder,les papillons se battaient à l'intérieur et électrisaient chaque parcelles de son corps, son sexe palpitait, son clitoris était douloureux et son vagin s'ouvrait et se refermait sous l'envie d'emprisonner le membre de son Maître. Son coeur battait la chamade, elle avait chaud, sa respiration était devenue désordonnée, sa poitrine se soulevait à un rythme qu'elle ne contrôlait plus, elle allait devenir folle à essayer de retenir cet orgasme monstrueux qui arrivait.Mon dieu, comment allait elle faire, elle n'arrivait plus à respirer correctement et les larmes arrivaient au coin de ses yeux et menaçaient de s'écouler.Comment pouvait on être aussi cruel pour empêcher une telle jouissance de naître, son Maître ne comprenait il pas ce qu'elle était en train d'endurer, pourquoi jouait il à ce point avec son corps, à l'exciter aussi fort pour lui refuser l'autorisation de jouir, là, elle ne comprenait plus, et Lui, il était confortablement installé, son membre tressautant en bas de son dos, il ne devait certainement pas se trouver dans le même état qu'elle sinon il y a longtemps qu'il l'aurait renversée pour la prendre.Imperturbable, il continuait son petit manège, poupée elle était, poupée elle devait rester, mais qu'est ce que c'était dur, elle voulait jouir, elle en avait besoin, elle coupait sa respiration et essayait de penser à autre chose, mais comment voulez vous penser à autre chose quand votre corps est excité jusqu'au point de non retour et que vous pensez à ce bâton rigide qui est t là coincé dans la raie de vos fesses, elle le maudissait à cet instant.Lui, continuait sachant très bien ce qu'il se passait dans la tête de sa soumise, il savait qu'il était dur, mais il voulait voir jusqu'où elle pouvait aller tout en admettant pour lui même qu'elle était forte, très forte.Il introduisit son majeur dans son fourreau et il sentit ses parois internes se refermer et emprisonner son doigt, il suffirait de pas grand chose pour la faire décoller.Elle frissonna de plaisir tandis que son sexe aspirait goulument le doigt de son Maître.Son intimité pulsait et elle avait l'impression qu'elle était connectée à son coeur.Comment allait elle faire, elle était à deux doigts du tsunami.Elle avait ses mamelons durcis, tout son corps n'était que braise, le feu coulait dans ses veines, un brasier chauffait son entrejambe, et elle avait l'impression d'être un volcan sur le point d'entrer en éruption. C'était bon et douloureux à la fois, douleur et plaisir se mélangeaient et elle ne savait plus quel était le plus insupportable, si il ne la laissait pas jouir elle allait faire une crise cardiaque mais il continuait inlassable.Indifférent à sa douleur, il introduisit un deuxième doigt tout en faisant danser son pouce sur son petit bouton déjà bien endolori, elle hoqueta de douleur tellement il était devenue sensible, son coeur à présent était remonté dans ses oreilles et battait à n'en plus finir, elle savait qu'elle n'avait pas le droit de se laisser aller, mais jamais elle aurait cru qu'il l'amènerait aussi haut dans le paradis du plaisir... ou était ce l'enfer.Des sanglots étouffés secouèrent ses épaules et il embrassa la peau fine sous son oreille, il reconnaissait qu'il était cruel mais il aimait la voir dans cet état d'invulnérabilité, lui même était fortement excité de la voir ainsi mais il se retenait de lui demander de le prendre dans sa bouche car dans l'état où elle était, c'était peut être un peu risquée pour sa virilité.Il se décida, malgré ce qu'il lui avait dit à l'autoriser à jouir."Tu voudrais jouir n'est ce pas ?""Oui, Monsieur"."Vais je t'autoriser, as tu été assez sage ?""S'il vous plait, Monsieur"."Je ne sais pas, je vais réfléchir encore". Et pendant tout ce temps de la conversation, ses doigts s'étaient activés et cherchaient à l'intérieur ce petit renflement de chair qui allait la faire exploser. Elle poussa un cri quand il trouva et appuya d'un coup sec, elle tremblait maintenant si fort qu'il eut pitié d'elle reconnaissant qu'il avait été loin dans son besoin de l'exciter."Allez ma belle, jouit sur ma main".Elle rejeta sa tête en arrière, se laissa aller contre son torse, tendit son sexe en avant pour chercher sa main, inspira un grand coup, bloqua sa respiration et laissa sortir toute cette jouissance qui ne demandait qu'à s'écouler hors de son corps, son cri se répercuta sur les murs de la salle de bain, elle retomba inerte entre ses bras telle une poupée de chiffon, molle tremblante, il l'embrassa sur l'épaule, se souleva pour la déplacer, sortit de la baignoire, attrapa un peignoir, la mit debout, l'enveloppa doucement, la prit dans ses bras et la ramena dans la chambre, la nuit ne faisait que commencer.


La poupéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant