Des jours passés, je ne cesse de penser à toi. Je ne cesse de repenser à nos bons moments : Quand ton regard plein des charmes faisait tressaillir mon âme de joie; quand ton sourire m'apportait la paix, quand tu me touchais par tes mains pleines de douceur qui arrivait à me guérir de tous mes maux ...
Je n'aurai jamais cru que tous cela ne deviendra qu'un souvenir, un bon souvenir qui aujourd'hui me perce le coeur, comme un couteau qui transperce le cœur d'un guerrier.
Si on me l'avait prévenu avant, j'aurai fait l'effort de ne pas devenir très fou de toi.
Je ne t'en veux pas, je me dis juste qu'il serait mieux si on s'était pas croisé... Mais nul ne sait les voies du Seigneur, je m'accrocherai toujours au plan de Dieu.