Chapitre 2

51 4 1
                                    




Je luttais contre le sommeil, de peur qu'il arrive et me fasse vivre l'enfer à nouveau.

Bill est entrée dans la pièce, tenant une autre femme par les poignets, elle avait l'air comme, morte.

Elle était très pâle, et le long de ses bras coulait du sang. Il devait être assez vieux étant donnée qu'il commençait à tournee au marron.

-Mon Dieu, qu'as-tu fais Bill ?

-Sa ne te regarde pas, sois gentille ou tu finira comme elle.

Pendant qu'il me parlait, mes yeux étaient focaliser sur sa main. Il lui manquait trois faux ongles.

Il l'a positionna a coter de moi, l'attachant à son tour, avant de tournée talon et de sortir par la porte qui menait dehors la laissant grincer au passage.

J'ai dû essayer pendant quelques heures de me détacher et de courir au secours de cette dame. Mais c'était déjà trop tard.

L'odeur du sang venant embaumée la pièce. Chaque second était une épreuve pour éviter de vomir.

Elle n'avait pas bouger d'un poil depuis qu'elle était arrivée ici. Je pensais même qu'elle était morte.

Je réussis à l'attraper et à la retournée.
Dans son dos se trouvait un couteau suivie de trois faux ongles appartenant à Bill totalement enfoncer sous sa peau.

Je n'arrivais pas à y croire. Mon cri retenti, j'avais si soif que ma gorge m'irritait mais je continuer à forcer sur ma voix essayant de percer les murs pour qu'enfin, quelqu'un puisse m'entendre, sans succès.

Je savais déjà que les murs était insonorisé, c'était peine perdu que d'essayer de prévenir les gens de l'extérieur.

Ses yeux s'ouvrirent, elle me regarda avant de pleurer encore et encore sans s'arrêter.

-Putain enlève moi ce couteau t'attend quoi connasse ?

-Se seras pire si je l'enlève, tu risque de beaucoup trop saigner.

Elle souffla, elle savait que j'avais raison. Son sang continuer de couler tandis que je pouvais apercevoir ses scarifications sur ses bras. Elle devait avoir vécu tant de chose pour en avoir autant, son bras en était remplie.

-Tu pense que, enfin, qu'on vas crever ici ?
Me dit-elle

-Je pensais connaître bien Bill, mais en réalité, tout n'était qu'un mensonge, alors j'en sais trop rien

Le sang vint a toucher mes pieds, il était froid et d'un rouge puissant. La vu de son dos me dégoûtait et me donner sérieusement la gerbe.

Bill revint, il avait le regarde de Satan, le même que l'autre fois. Il n'avait pas de femme à ses bras cette fois ci, simplement un briquet et des bandeaux.

-Vous n'imaginez même pas tout se qui vas vous arrivez, bonne chance.

-Pourquoi nous fais-tu ça ?
Dit-elle tandis qu'elle retenait ses larmes de se fondre sur ses joues.

-Car c'est drôle, voir vos tête changer d'expression et me suppliez d'arrêter, j'aime ça.

Il n'était qu'un putain de sadique.

Il s'approcha de la jeune femme et alluma le briquet pour le positionner sur sa cuisse. Sa peau se calcinait. Elle aboya suppliant Bill de la laisser partir. Il lécha sa lèvre inférieure, la remplissant de bave. Il cracha au milieu du visage de celle-ci avant de se diriger vers moi.

Il m'ouvrit les cuisses, laissant des baisers à l'intérieure. Mon âme hurlait, demandant de l'aide, mais mon corps, lui, ne pouvait pas ignorer les chatouilles que sa bouche me provoquait au contact de ma peau.

Il alluma le briquet et je su directement se qu'il s'apprêtait à faire.

Il le dirigea vers l'intérieur de mes jambes et ma peau brûla a son tour. Je grimaça de douleur face au feux qui venait embraser l'entièreté de ma cuisse. Il ne comptait pas s'arrêter. J'avais l'impression que ces quelques seconds étaient aussi longues que des années, l'impression que je ne m'en sortirais jamais.

Il recula, ma respiration repris normalement.

Mon corps sentait toujours le dissolvant, mais je crois qu'en réalité je commençais à m'habituer à cette odeur corporelle.

Bill attrapa un bidon derrière lui et fit couler le liquide sur un chiffon. L'odeur du produit repris le dessus sur l'odeur de la terre mouillé que je pouvais sentir depuis le début. Lui aussi, sentait l'acétone.

Il jeta le tissu sur mon corp presque nue me brûlant une secondes fois.

Il alluma un briquet et le lança presque sur moi. Il voulait simplement me faire peur. Il veut me faire peur pour que je me soumette, et le pire dans cette histoire, c'est qu'il réussissait.

Ses longues bottes noir résonnait dans la pièce tandis qu'il se dirigeait vers la sortit de la cave. Une fois de nouveau toute seul, je me devais de lui parler.

-Comment t'appelles-tu ?

- Alina, mais Kaulitz m'a renommer 483, et toi ?

-Leya, Leya Kaulitz.

-T'est qu'une putain de traître enfaite, tu dois être leurs sœurs ou je sais pas quelle autre connerie.

Elle recula essayant de me fuir, elle n'avait pas conscience de l'enfer que je vivais depuis que j'avais rencontrée cette familles

-Non, pas du tout, j'étais, enfin, son frère était mon petit copain, aillant été reniée de ma famille, il m'a toujours donnée se nom de famille.

-Oh, son défunt frère ? Je comprend mieux je suis désoler.. paix à son âme. Et bientôt à la notre..

-Ouais j'crois qu'on est destinée à crever comme des rats ici

-Je suis sur qu'on trouvera un moyen de s'en sortir.
Me dit-elle

-Pourquoi tu a atterrie ici ?

-Je ne sais pas trop, je l'ai croisé au bord de la route tandis que je marchais jusque chez moi, revenant de l'enterrement de mon petit frère. Il m'a proposée de faire du stop et j'ai accepter. Puis il m'a maltraitée tout le long du trajet jusqu'ici. Et toi ? Tu étais quand même sa belle soeur pourquoi aurait-il fait ça ?

-Je ne sais pas trop, j'ai cru comprendre qu'il avait été jaloux, mais je n'en sais pas plus.

Elle tourna les yeux vert le sol. Ses yeux étaient rouge et je cru même la voir pleurer du sang mélanger à des larmes. Je voyait qu'elle était plus sensible et je savais que si je ne l'aidais pas, elle mourrait avant.

Elle s'est allongée sur le sol cherchant du réconfort face à se bloc de briques froides. La nuit allait être longue, et douloureuse.

Je me mis aussi au sol, rapprochant mes jambes de mon corps sensible au sol. Les graviers présents dans la cave me perçait la peau. Ils me procuraient de petites douleurs et des traces rouges sur les jambes. La robe d'hôpital ne me couvrait pas vraiment, je me demandais combien de temp j'allais pouvoir la garder sur moi.

  Mais c'est tout de même comme sa que notre première matinée ensemble s'est terminée.

Jour deux en enfer, me voila.

We'll be in love, soon Où les histoires vivent. Découvrez maintenant