Un homme, malheureux et sans issue, étant un grand inspecteur fera la rencontre de cette jeune femme par hasard. Qui est-elle ? Que va t'elle lui apporter, que va-t-il se passer ?
- Suis-je un homme avec un grand cœur ? Déclara Mr Winstone à son ami.
- Bien sûr que tu es un homme avec un grand cœur imbécile. Tu n'a juste pas encore trouvé le bonheur. Dit-il tout en souriant.
- Peut-être, mais qui suis-je pour me permettre de prétendre d'être heureux, alors que c'est tout le contraire. Murmura Mr Winstone à son ami.
- Tu es un homme à la recherche du bonheur, tu ne pourras sûrement pas prétendre être heureux, mais tu peux le devenir à l'avenir. Tu n'es peut-être pas parfait, mais tes défauts font de toi ce que tu es aujourd'hui. Répondu son ami à Mr Winstone.
- Un minable qui n'a pas de femme, pas de famille, qui adore le whisky et qui ne pense qu'à sa gueule. Murmura Mr Winstone.
- Tu devrais rentrer cher toi, tu n'a pas très bonne mine. Déclara son ami.
Sur le chemin, Mr Winstone croisa le regard de cette jeune femme, elle avait un air de printemps, d'une beauté inexplicable. Mr Winstone ne s'empêcha pas de la regarder.
- Oups, veuillez m'excuser, je ne voulais pas vous bousculer. Déclara Mr Winstone à cette jeune femme avec un air surpris.
- Ne vous excusez pas Mr Winstone, j'avais la tête ailleurs. Au moins, je serrai plus prudente la prochaine fois. Dit-elle d'un air surpris tout en souriant.
- Comment ? Comment pouvez vous connaître mon nom ? Déclara Mr Winstone d'un air étonné.
La femme lui lança un sourire, et un regard dans lequel Mr Winstone s'y perd pendant quelques secondes.
Le lendemain matin...
- Alors ce n'était donc pas un rêve, cette femme... Elle était bien réel. Cette femme connaissait mon nom, cependant je ne la connaissais pas pour autant. Se murmura Mr Winstone.
Mr Winstone encore sous le choc de ce qui venait de se passer la nuit dernière. A donc décidé qu'il n'ira pas y prêté attention, car après tout c'était un inspecteur. Et qu'il n'avait pas le temps pour ces idioties.
Arriver au poste de police, Mr Winstone se précipita dans son bureau.
- Qui était cette femme ? Se murmura Mr Winstone.
- Non! Je ne dois pas y prêter attention, j'ai du travail aujourd'hui. Déclara Mr Winstone.
- Bonjours Mr Winstone, un meurtre a eu lieu dans la ville de Toulouse, Rue Georges-Mandel, aux alentours de trois heures du matin. Déclara le chef de brigade à l'inspecteur Mr Winstone.
- D'accord, je vais aller y jeter un coup d'œil et en savoir davantage sur cette affaire. En attendant touts ce que vous pourrez trouver, je voudrais que vous me le rapportiez. Déclara Mr Winstone au chef de brigade.
- Vous savez Mr Winstone, vous êtes l'un des rares inspecteurs que j'ai pu rencontrer dans ma carrière, aussi silencieux, vous avez le regard d'un mort. Vous donnez même l'impression d'être déjà mort parfois. Ça n'en devient que misérable de vous voir dans cet état. Murmura le chef de brigade à l'oreille de Mr Winstone.
Mr Winstone d'un air énervé, se lève de sa chaise, sortant de la pièce à toute vitesse, il prit ces clés de voiture et partit à l'endroit où a eu lieu le crime.
Arrivé sur la scène du crime, Mr Winstone regarda le corps sans vie, d'un air étonné il regarda son cou. Oui, Mr Winstone se souvint de cette fameuse nuit et de cette femme. Il se rappela qu'elle portait le même collier. Mais pourtant il savait au fond de lui que ce n'était pas elle.
- Mr Winstone ? Pourquoi fixez-vous le cou de cette jeune femme sans vie ? Déclara le policier à l'inspecteur.
- Trouvez-vous pas que ce collier et magnifique monsieur le policier. Répondu Mr Winstone au policier.
- Mais Mr Winstone, de quel collier parlez-vous ? Il n'y a qu'un bleu et un cou broyé. Déclara le policier.
En clignant des yeux Mr Winstone comprit. Il comprit qu'il perdait la tête. Il n'y avait pas de collier à son cou. Mais pourtant Mr Winstone l'avait vu.
Les battements de cœur à Mr Winstone s'accélérèrent d'un coup. Sa respiration augmenta, elle allé de plus en plus vite. Il avait l'impression qu'on le compressait au niveau du coeur et des côtes.
Il courra à toute vitesse à la porte d'entrée, mais d'un seul coup ses jambes le lâchèrent.
- Mr Winstone ! Déclara le policier.
Mr Winstone se réveilla à l'hôpital, il était perdu. Lui-même ne savait pas pour quelles raisons s'était-il retrouvé ici.
- Bonjours Mr Winstone, je suis le docteur Henry. Vous êtes arrivé aux alentours de onze heures . Il se pourrait que vous ayez fait un malaise sur votre lieu de travail. Déclara le Docteur Henry à Mr Winstone.
- Docteur Henry, quelle heure est-il, s'il vous plaît ? Déclara Mr Winstone au docteur Henry.
- Il est dix-sept heures, mais ne vous en fait pas. Vous avez été traité avec nos plus grands soins Mr Winstone. Répondis le docteur Henry tout en restant calme et souriant.
- Cependant, nous devons vous transmettre une lettre, venant d'une jeune femme. Elle n'a pas voulu donner son nom, mais elle m'avait plutôt l'air sûr d'elle. Déclara le docteur Henry à Mr Winstone.
Le docteur Henry donna la lettre à Mr Winstone. Il avait l'air surpris. Bizarrement cela n'était pas arriver depuis bien longtemps. Oui, c'était bien un sourire qui se former sur le visage de Mr Winstone.
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