Yandere MHA x Reader

- Eijiro Kirishima -

PDV T/P :

Chaque matin c'est pareil, je me lève je me prépare et je vais donner des cours à des lycéens de Yuei. Je suis une héroïne, pas l'héroïne la plus puissante mais j'en suis une. Mon collègue et crush depuis ma foi très longtemps : Eijiro. Est dans le même cas que moi. Je marche rapidement jusqu'à UA. Ma voiture est tombé en rade il y a peu donc je me déplace soit en bus soit à pied.

J'arrive devant le bâtiment et entre à l'intérieur, je suis saluée par plusieurs élèves et je rentre dans la salle des profs. Je salue mes collègues et je vais m'assoir en attendant Eijiro. Quelques minutes plus tard il arrive, il viens s'assoir en face de moi et me sourit. Je remarque qu'il dépose un grand sac de course à ces pieds.

- Moi : Coucou Eijiro ! Ça va ?

- Eijiro : Salut T/P. Je vais toujours bien quand tu es proche de moi.

Mes joues rougissent légèrement, je décide alors de changer de sujet.

- Moi : Dis moi, tu as quoi dans ce grand sac ?

Il me regarde et me lance un regard froid comme un glaçon, il me répond sèchement.

- Eijiro : Rien qui te concerne. Bref ton week-end ?

Sa première phrase me fais froid dans le dos. Je décide de passer outre, et je lui sourit.

- Moi : Mon week-ends était super ! Et le tiens il s'est bien passé ?

- Eijiro : Oui ça été. Il était plutôt long mais bon.

Nous discutons alors de tout et de rien. Puis l'heure de donner des cours arrive. Nous nous séparons.
La journée passe à toute vitesse s'en est stressant. Mon heure est venue de quitter l'établissement. Je rassemble mes affaires qui traîne dans la salle des profs et je sort dehors, je me dirige vers le portail et je sors. La nuit commence à tomber et je marche dans les rues les plus éclairées quitte à faire un détour.

Durant le début du trajet j'avais l'impression d'être suivie. Et je n'aime pas ça.
Au détour d'une rue je vois une silhouette sous un lampadaire. Le trottoir étant assez large je la contourne, mais on attrape ma main. Je me tourne alors paniquée et je tombe sur des yeux que je ne connais que trop bien. Des prunelles rouges sang.

- Moi : Eijiro...

Je ne remarque pas la batte de baseball qu'il tiens à la main et il m'assomme sans scrupule.

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