Trois destins en un 🔹

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🔹Dernière parole du chapitre précédent:

"Je ne suis pas certaine d'être capable de changer mon destin, c'est un fait [...]Mais ce dont je suis certaine c'est que personne dans ce monde ne peut ressentir la force de mon amour pour toi[...]

Même quand tu auras atteint l'âge de faire tes propres choix, je continuerais à veiller sur toi comme une ombre à son propriétaire pour que jamais, au grand jamais, tu n'es à subir ou te plaindre d'une mauvaise vie...Aussi longtemps que la vie me le permettra...[...]

...Je te le promets"

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🔹Retour à l'histoire:

Anita: Dis Martakaï? *la regarde et se place devant elle en marchant à l'envers*

Martakaï *sortit de ses pensées* Oh, oui dis moi? *Lui sourit*

Anita: Tu as des rêves? Des choses que tu aimerais réaliser quand tu seras grande? *curieuse*

Martakaï: Mmmmmmh *réfléchit* Pour dire vrai, je n'ai jamais vraiment songé à avoir des rêves. Cependant, ils y a des choses que j'aimerais être ou faire plus tard. *pensive*

Anita: Et donc? *impatiente*

[Deux passants suivent le chemin dans la direction opposée aux filles]

Martakaï: Du calme Soeurizette...*Interrompu par Anita*

Anita: Arrête avec ce surnom! Je déteste quand tu m'appelles comme ça!! *voix basse en fixant les passants* C'est gênant!

Martakaï: Il n'y a pas de raison de s'offusquer Anita. *calme* Ce n'est qu'un surnom que je donne à ma douce et adorable petite soeur. *Lève son index en l'air* Soeurizette *sourit en provoquant Anita en lui appuyant son index sur le nez* Hihihihi!

Anita: *agacée puis sourit* Oooooooh toi si je t'attrapes!!! *fronce les sourcils faussement*

[Les deux sœurs euphoriques se mettent à courir, Anita poursuivant Martakaï quelques minutes manquant même de percuté un paysan avec sa charrette]

Paysan: Hé! Regardez ou vous allez les filles! *légèrement crispé*

Anita: Ça va, on a...! *Interrompu par Martakaï*

Martakaï : Excusez nous monsieur. *Affiche une mine désolée*

Anita:*Fronce les sourcils* Pardon monsieur *Se place sur le côté pour le laisser passer*

[L'homme passe et les deux filles ne peuvent se retenir de pouffer en se regardant]

Martakaï: Le pauvre homme quand même. Il n'en mérite pas tant *essuie une larme de sa joue en souriant*

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