𝑴𝒐𝒏 𝑨𝒏𝒈𝒆

00.Prologue

𝟒 𝒋𝒖𝒊𝒍𝒍𝒆𝒕 𝟐𝟎𝟏𝟗, 𝑷𝒉𝒊𝒍𝒂𝒅𝒆𝒍𝒑𝒉𝒊𝒆

Pdv Isabella Millers:

Mes cheveux noire trempée, mes vêtement collant à ma peau humide à cause de la l'orage qui surplombe Philadelphie. Un manoir qui est censée être ma maison, l'endroit où j'ai passée toute mon enfance avec ma grande soeur et mes parents. Vide d'émotions, le coeur en miettes je fixe ce qui était autrefois ma maison, il viennent de me virée, mes propres parents vienne de me virée de leurs vie. Deux valises dans chacune de mes mains, les seuls affaires que j'ai pu emmener, mes seuls souvenirs sont dans ces valises. Mes larmes ce mélange à la pluie, j'observe une dernière fois le manoir où j'ai vécu pendant dix-huit ans de ma vie, puis je tourna les talons quittant la propriété appartenant à mes parents. Je commença à marcher dans les rues vides de Philadelphie, tout le monde ce trouve chez soit ce protégeant de l'orage et de ces éclairs, l'orage fait tellement de bruit qu'on entend même pas le bruit de deux valises rouler contre le sol. Je secoua la tête en essayant d'oublier les vieux souvenirs de notre famille quand je faisait encore partis, je suis banni de cette fausse famille. Ils ont préférez sauvez leurs propres réputations au lieu de leurs fille, traitez leurs fille de menteuse et d'idiote. Ils ont préférez abandonnez leurs propre enfant au lieu d'assumez la responsabilité de ce qu'il m'est arrivée, part leurs fautes, part quelqu'un à qui j'avais confiance. Aux bouts de plusieurs minutes à réfléchir à tout ce qui c'était passée, j'arriva devant un bâtiment luxueux, j'entra dans le hall et demanda à la réception de garder mes valises le temps que j'aille rendre visite à mon copain. Je me dirigea vers l'ascenseur et un homme retint celui-ci pour que je puisse entrer dans l'ascenseur, je le remercia doucement et je décala mes cheveux mouillée en arrière. D'un coup quelqu'un m'appela, me demandant ce que je fait ici d'un air taquin. Ce n'est vraiment pas le moment, pourquoi faut-il que je croise ici.

-Isa, tu à l'air au bout de ta vie. Ria t-il en me regardant

Je tourna mon visage sans émotions vers lui, mon mascara formant une énorme trace noir en dessous de mes yeux, mes vêtements qui colle moule parfaitement mes formes, mon corp qui est frigorifier et qui tremble de froid. Ces yeux s'écarquillèrent à la vue de mon visage et de mon état déplorable, il hésita longuement avant de prendre la parole doucement son air taquin qui as complétement disparut:

-Est-ce que tout vas bien, Isa ? Me demanda t-il en remarquant mon état

J'hocha la tête en positive comme simple réponse, l'ascenseur sonna indiquant que nous sommes arrivée au septième étages de l'immeuble. Je sortis de celui-ci sans prendre compte qu'il continuer à me parler n'étant pas convaincu de ma réponse, sans aucune parole, je l'ignora et continuant d'avancer dans ces couloirs avec plusieurs portes. Je souffla lorsque j'entendit la porte de l'ascenseur ce refermer signe qu'il était à présent partis, je m'arrêta devant la porte numéro cent soixante-cinq et j'appuya sur la petite sonnette. Je croisa mes bras sur ma poitrine étant complétement figée de froid, quelques secondes s'écoulèrent sans que personne n'ouvre, j'allais rappuyer sur la sonnette mais au même moment la porte s'ouvrit, sur mon mec. Ces cheveux blond son en bataille et il ne porte rien d'autre que son boxer noir, en m'apercevant ces yeux s'écarquillèrent, quand je lui rend visite je le préviens à l'avance, mais pas cette fois.

-J-je...Isa qu'est-ce que tu fais ici ? Me demanda t-il en bégayant Ecoute, je ne sait pas pourquoi tu es ici, mais tu devrais repartir...t-tu ne m'a pas prévenu. Dit-il en observant autour de lui

Mon visage ce décomposa à ces mots, comment pouvait t-il me dire cela, alors que je tremble de froid, mon visage et déformer part la tristesse et mon regard et terriblement fatigué. Il ce gratte nerveusement la tête, comme s'il essayait de me cacher quelques choses, mes sourcils ce fronça en remarquant son attitude étrange.