Ariel

Après que les garçons aient conduit taehyung à l'infirmerie, j'étais resté avec jungkook à son appartement... pourquoi je vivait il pas au campus comme son frère ?

Il avait insisté pour me tenir compagnie, j'étais toujours anxieuse par l'état de taehyung.

Jk: cesse d'y penser d'accord, il va s'en remettre.

Ariel: il m'a protégé.

Jk: il l'aurait fait pour n'importe qui, c'est peut-être un con, mais il a du cœur au fond.* me tend un verre d'eau * bois, ça te fera du bien.

Ariel: merci.

Jk: * regarde sa montre* il se fait tard, tu devrais rester dormir ici. Je t'accompagnerai au campus demain matin.

Ariel: non. Je ne peux pas. Faut que je rentrer ou jennie va s'inquiéter.

Jk: préviens là.

Ariel: j'ai pas mon portable.

Jk: tiens, utilise le mien* me tend son téléphone *

Ariel: j'connais pas son contact.

Jk: ça ne fait rien, demain tu lui expliqueras tout. Je nous commande à manger. T'as envie de quelque chose ?

Ariel: non.

Jk: une pizza ça te va?

Ariel: oui...elles sont où tes toilettes ?

Jk: là-bas au fond * m'indique*

Ariel: merci.* dis-je me levant*

****

Le lendemain

Je me réveilla dans un lit, qui n'était pas le mien, je ne mis pas de temps à comprendre que j'étais dans la chambre de jungkook .

Je sortis du lit et remarqua que je portais toujours ma culotte et mon crop top d'hier soir, il était taché et sale...mais c'est pas comme si j'avais eu le temps de passer chez moi...

Je sortis de sa chambre, il était installé dans le fauteuil prenant son petit déjeuner.

Jk: bien dormi?

Ariel: oui...mais comment je me suis retrouvé dans ton lit.

Jk: je t'ai porté. Le canapé n'est pas vraiment confortable... allez vient déjeuner avec moi.

Ariel: je n'ai pas très faim.

Jk: d'accord * dit-il se levant* on y va je te dépose chez toi.

Ariel: merci... on pourrait faire un détour à l'infirmerie ? J'aimerai le voir un instant.

Jk: dans ton état * me regarde d'en haut en bas*

Ariel: ça sera rapide.

Jk: très bien.

***

Nous étions arrivés à l'infirmerie, l'infirmière nous donna l'autorisation d'y aller, lorsque je fus dans la pièce il était endormi... il semblait tellement paisible, mais je savais au fond de moi, qu'il était dans cet état par ma faute.

Les bandages sur sa tête et ses avant bras me le rappelait sans arrêt.
Je m'assieds près de lui, l'observant.

Il était tout simplement parfait, dommage qu'il ait un caractère de cochon.

Ma nouvelle voisineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant