I Will Do Everything For Her. [En Cours D'édition]

1. Merry Christmas

⚠︎Avant de commencer je tiens à dire que cette histoire se passe en 2009 / 2010, que il y aura des scènes violentes tel que sesquestration, meurtres, viol etc. Merci aux âmes sensibles de s'abstenir. C'est aussi ma première histoire donc j'espère que ça va vous plaire. ⚠︎

Le soir de Noël, j'étais allongée sur le canapé épuisée de mes journées, pourtant je ne faisais rien. Pas un boulot ni de tâches ménagères. Rien.
Je n'avais pas décoré ma maison car je n'avais pas assez d'argent.
Je dis "maison" mais ce n'est qu'une cabane que j'ai prise pour seulement quelques euros.

Je pris mon téléphone pour regarder l'heure: il n'est que 20h03.

- Et puis merde ! Je vais chercher de la bouffe et je me fais un apéro pour Noël.
Je sors de chez moi avec un gros manteau et une écharpe plus grande que moi même. Il faisais noir, les lampadaires n'arrêtaient pas de clignoter. Et ce vent était glacial, mon visage en devenait rouge.

J'arrive enfin au supermarché, le seul endroit qui fait briller sa lumière. Je rentre et je prends des chips, du coca et du pâté surgelé parce que sinon c'est trop cher pour moi. Il faudrait vraiment que je me trouve un travail.
Le caissier me faisais plutôt peur; il était légèrement obèse et avec ses yeux qui partent dans 2 sens opposés. Il était pâle et ses vaines ressortaient. Ça m'horrifie..
- Bonsoir, vous prenez juste ça ? Avec sa grosse voix enrhumée.

- Oui je prends que ça.

- Hurm 5.99€ s'il vous plaît jeune fille. Me dit-il avec un regard de tueur.

J'etait terrifié alors qu'il pourrait être sympa.
Je paie et je pars sur une marche rapide.

Je rentre chez moi petit à petit toujours sous la neige qui tombe sur moi. Les bruit d'écrasement faits par mes bottes m'apaisent.

Au loin je vois une silhouette assez grande, assise sur un banc en face de ma fameuse maison. Pourquoi pas aller voir cette personne ?
Je m'approche un peu, puis encore et encore.
- Euh bonsoir, dis-je avec les yeux plissés à cause du vent

Je ne voyais pas vraiment qui c'était mais je pense savoir que c'était quelqu'un légèrement plus âgé que moi.
- Bonsoir, qui êtes vous ? Me demande cette personne.

- Ada Meyer, qu'est-ce qui vous prends d'être dans le froid le soir de Noël ?

Il leva les yeux pour me regarder et ne me répond pas.
- J'aimerais une réponse monsieur ?

Je commence à m'agacer oui.

- Car, j'ai envie d'être dehors. Me rétorque-t il avec un petit sourire

C'est une réponse logique, bon.

- Ça vous dit de passer la soirée chez moi ? Je n'ai pas l'intention de laisser une jeune et ravissante femme sous la cette neige, m'accorde t-il.

- Pourquoi devrais-je venir avec vous ? Je ne vous connais à peine. Et j'ai ma maison devant le banc sur lequel vous êtes assis.

- Oh.. alors dans ce cas.

Il se leva et essaya de m'attraper. Mais bonne coureuse que je suis, je me retourne vite pour rentrer chez moi.
Une dois rentrée, je ferme vite à clés pour ne pas que cet inconnu entre dans ma "demeure".
Il donnait des coups tellement forts. Et il hurlait pour que je le laisse entrer.

- Tu vas me laisser entrer !!

- Jamais ! J'ouvre pas à un connard comme vous !!

On se cria dessus alors que j'essayais de retenir la porte pour ne pas qu'il puisse renter.
Je me prenais des coups énormes dans le dos ça m'en faisais perdre ma force. Je ne cesse pas !

Cette fois il donna un coup qui me fit voler de la porte. Il entra dans la pièce et me pris de sorte à ce ma tête dois contre son cou, comme si il portait un sac à pomme de terre.
Je criais à l'aide de toute mes forces mais personne ne m'entendait. Trop occupés par leurs familles et leurs cadeaux. Je me débattait je donnais des coups de pieds mais rien qui puisse l'arrêter.

- Lache moi sale fou ! Lui criais-je dessus.

Il ne me répondait pas. Je lui donnais des coups de points dans le dos mais il continuait de marcher vite.

On arrive devant une maison le plus normal que j'ai vu et il se dirige à l'intérieur. Je ne voyais rien à l'avant mais je voyais tout a l'arrière. Il descends les escalier et il me jette par terre.

Mon dos se tape contre le mur ce qui me fais un peu grimacer.

- Maintenant tu vas rester sagement ici, joyeux Noël. Ricana-t il

- Laissez moi partir ! Je t'es rien demandé ni fais !!

J'essaie de me lever pour partir mais c'était trop tard. L'homme était deja réparti en haut me laissant dans cette petite pièce. Il faisais froid à l'intérieur; il n'y a pas de chauffage.

Je tapais sur la porte de toutes mes forces mais celle-là était fermée à clés.

Puis le désespoir arrive en moi. Je m'effondre par terre contre a porte au bord des escaliers. Les larmes commencent à couler sans que je le veuille.

- Putain qu'elle idée d'avoir voulu aller lui parler !.

A ce moment, la porte s'ouvrit. C'était bien sûr que c'était ce connard. Je connais même pas son nom.

- Bon arrête de pleurer et tais toi. Sinon tu goûtera à ce que tu mérite. Me dit-il avec une voix si grosse qu'on dirait qu'il allais me tuer.

- Je ne t'es rien fais de mal pour en arriver à me.. a me kidnapper !

- J'ai dis tais toi !! Me grogna-t il

Il me donna une gifle énorme que j'en manquais pas de tomber des escaliers. Ma joue était maintenant rouge et elle me piquait.

- Mais t'es un fou ! Je lui criais dessus. Ce qui est une grosse erreur.

Je lui rendis l'appareil en le giflant aussi.
Ca l'énerva donc il me fis descendre et me rejeta parterre. Je me retenais de pleurer, je le regardais dans les yeux, espérant que sa rage cesse. Mais non ça n'a rien fais.

Il commença à me donner des coups de poings qui me faisaient tomber au sol. Je me suis jeter sur lui pour qu'il finisse par tomber, mais il est bien plus fort que moi et ça ne changera pas.

Je fini par tomber au sol et je coca que j'avais pris à explosé dans ma poche de manteau. Que de la merde ce soir.

- Je t'es fais quoi putain !!.

- Rien. Tu es juste là suivante.

Il se mis à rigoler et parti. Mais arrivé à la porte, un autre homme s'y trouvait.

- C'est qui lui aussi !? J'etait persuadée que c'était un complice.

- On peut dire ça si tu veux mais ce n'est que mon frère. Dis lui bonjour Ada.

Je les regardais avec trop de colère mais leur regard était dix fois plus perçant, ça m'en donne tellement mal à la tête.. Ma vision devient floue et je perds ma force. Je m'écroule et me tape la tête contre le sol.

Je m'étais évanouie sous la tension d'ici.