Nous avions l'habitude de venir ici chaque année qui passais comme un rituel de notre amitié. On ce posait sur ce banc et nous regardions en silence le paysage. Il finissait toujours par rompre le silence. Et cela était toujours pour dire une chose. « Ne t'inquiète pas je ne partirais pas avant toi. » Cet phrase je l'ai entendu c'est dix dernières années comme une chanson en boucles. J'y est crus, tellement. Que maintenant cela me semble dérisoire. Comme peut-on croire qu'une parole si bien donner puisse être brisé ? J'ai été bête de penser l'inverse. J'ai été aveugle de ne rien comprendre. Mais maintenant cela est fait. Alors pars ou je vais aller ? Pars ou je vais commencer ?
Tout est tellement embrumé. Le ciel ce couvre. Le froid gagne de plus en plus de longueur au fil des jours. Les feuilles continue de joncher le sol sans disparaître à croire qu'elle ce sont mouvez dans le sol. Je fini de contempler ce désastre qu'est devenu cet vue avant de reprendre le chemin vers une vie que je n'arrive plus à côtoyer de près.Le visage enfouie sous mon écharpe en dis long sur les degrés extérieur. Cela n'a voisine pas les cinq degrés et cela n'allais pas s'arranger avec le vent qui ce levais. La voiture sera mon meilleur amis quand j'y serais rentré.
Je ne fis que dix dernier pas avant de pouvoir déverrouiller ma voiture et dans un temps record, le moteur était déjà en route et le chauffage commença à réchauffer l'habitacle. Un soufflement de bien-être franchise la barrière de mes lèvres et mes mains gelées arrivèrent enfin à ce réchauffer.
Le trajet fut long et calme. D'habitude la voiture raisonnais toujours d'une musique entraînante pour que ma conduite sois le plus détendu possible. Mais en ce moment cela n'était plus le cas. Je me concentrais sur la route et même une queue de poisson ne me fessais plus réagir au quart de tour. Cela veut bien dire que quelque chose avais changé. Que les émotions habituel n'étais même plus présente. Tout avais disparue.
Étais-ce mal que cela sois arrivé ? Je veux dire vivre avec peux d'émotions n'ai pas si dérangeant que ça ? Au moins je ne suis pas obligé d'arranger en permanence chaque émotion pour chaque personne ou situation. Je vais à l'essentiel. Doit-on me blâmer pour ne faire que le strict nécessaire au quotidien ?
J'ai fini pars laisser cet réflexion bien loin de ma tête car même en arrivant à poser les mots sur un cahier étais-je prête à délivré chacune de mes penser et de mes vérités. Cela n'arrangerais pas mon état actuel. Je pense même qu'il empirerait. Alors le déni sur ce que je ressens et ce que je fais ressentir m'ai nécessaire. La réflexion même de laisser mes émotions prendre le dessus la maintenant m'était insupportable. Je me devais de garder la tête froide.
Alors quand j'eu fini de me débarrasser de mon manteau, de mon écharpe et des mes chaussures la première chose fut de me servir un verre de vin. Ce fut une délivrance la première gorger comme ci tout les maux de la terre entières s'évadait dans ce verre de vin. Alors partie comme je l'étais la bouteille y passa. Assise sur la petite table devant ma fenêtre la fin de mon dernier verre bien entamer j'ai essayer de réfléchir à ce qu'il c'était vraiment passer. Le pourquoi du comment ? Avais-je le droit à une réponse ? Avais-je le droit de continuer à comprendre. Je ne sais plus comment réfléchir de façon certaine avec des réponses clair et utile. Le vin était un amis apprécier mais cet amis ne me rendais pas la plus cordonner dans mes penser. Mais je suis fautive la boisson m'a appelée et je l'ai rendu elle aussi coupable de mes maux. Alors que bien-sur mes peine n'était du que à moi et moi seul.
Mais il avait sa part de responsabilité lui aussi, s'il avait tenu sa promesse je ne serais pas là à vider des bouteilles de vin entière des que j'en est l'occasion. Même si le lasser allez était totalement et irrévocablement le mien je ne devais pas oublier que dans cet histoire présent il m'avait pris les dernières étincelles de vie.
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Résilience
Short StoryEt cela était toujours pour dire une chose. « Ne t'inquiète pas je ne partirais pas avant toi. »