Des anges partis trop tôt, pensa t-elle
Le médecin toujours auprès d'elle l'informa de la situation
- Madame sachez que je suis sincèrement navré de ce qu'il vous arrive. Si vous avez du mal à envisager la suite avec l'enfant, nous pouvons l'admett...
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Amalia n'en revenait pas, elle n'y croyait pas. Cela faisait maintenant 20 minutes qu'elle avait quitté le grand building de chez maccini holding and co, suite à l'appel de l'hôpital lui indiquant l'accident d'aurore sa meilleure amie depuis toujours.
En chemin elle n'avait pu s'empêché d'imaginé le pire, ne sachant pas ce qui avait pu arrivé à son amie ainsi qu'à sa petite famille. Elle ne pu que prier et espérer que rien de grave ne leur soit arrivé.
Plus elle approché, plus la peur se faisait grande et s'intensifié, arrivé a l'accueil de l'hôpital tout en essayant de reprendre son souffle, les mains moites et tremblante elle essayé d'assemble les mots, elle ne pu que prononcée le nom de son amie
... Au Aurore je cherche aurore, on ... on m'a appelé je...je
La voyant perdue, paniquée les larmes menaçant de sortir l'agent d'accueil ne perdit pas de temps et lança une recherche sur son fichier avant de tombé sur le bon dossier, elle déglutit machinalement regardant la jeune femme en face d'elle et l'écran, ainsi de suite, elle finit par contacter le médecin en charge du cas et fit patienter Amalia.
Pendant cinq minute Amalia qui ne comprenait pas la réaction de la femme à l'accueil qui regarder fixement son écran et avait tout à coup eu du mal à soutenir son regard, dû attendre l'arrivé d'un médecin. A l'entente de cette nouvelle elle sentie comme un poids s'ôter de ces épaules, elle murmura dans un souffle comme pour sa rassurer :
Le médecin s'occupe d'eux, ça va aller....
Elle croisa les bras se serrant fort comme pour se rassurée, et redoubla de prière pour qu'on lui annonce de bonne nouvelle.
A l'arrivé du médecin, elle se leva a tout vitesse manquant de perdre à nouveau l'équilibre elle analysa le visage de celui-ci, et faillit défaillir voyant l'expression dure et résignée s'approchant d'elle le regard plein de pitié. Elle ne put s'empêcher de retenir une larme, puis deux, puis trois avant qu'un torrent de larmes ne vienne perlé sur ces joues. Bientôt elle s'écroula sur le sol et fut inconsolable.
Une fois calmé, le médecin avait pris le soin de lui expliquer la situation, sa chère amie Aurore ainsi que son fiancé Vincenzo avait eu un accident alors qu'il revenait de leur petite vacance en famille, qu'elle avait eu du mal à organisé vu l'emploi du temps de Vincenzo, c'étais leur première vacance depuis l'arrivé d'Emiliano.
Un chauffard les avait percuté alors qu'il sommeillait au volant, avant de s'enfuir lâchement sans prêté attention au victime gravement blessé, il fu rattrapé peu de temps après alors qu'il s'enfuyait en vain.
Elle ne voulait pas l'accepter,
Elle n'y croyait pas...
Elle se parlaient encore hier, se promettant d'aller mangé à leur restaurant habituel, le Piccadilly à force de mangé là-bas elles avaient fini par devenir amie avec le gérant et passer presque tout leur dimanche à trois autour d'un bon brunch. Son amie lui raconter encore combien elle étais comblé, heureuse et amoureuse et que malgré les hauts et les bas qu'elle avait rencontré avec son fiancé. Elle ne changerait son histoire d'amour pour rien au monde. Elle lui raconter qu'Emil son petit ange commencé à l'appeler maman, le sourire au lèvre, elle entendait Vincenzo lui demander de venir mangé à l'autre bout du fil et Emil rigolait...
Pris d'une vague d'électrochoc elle demanda aussitôt au même médecin
Et Emil !? Ou est-il ? Est-ce que lui aussi...
Elle ne put finir sa phrase, frappée par la réalité. Sa meilleur amie, sa sœur, son tous étais décédé, morte sous le coup. D'après les médecins elle n'avait pas souffert. Vincenzo lui avait réussi à faire sortir son fils du véhicule, grièvement blessé il s'était éteint peu de temp après, son fils contre lui.
Des anges partis trop tôt pensa elle, alors qu'une énième larme perlais le long de sa joue tout en étant attentif à la réponse du médecin, elle déglutit.
Emiliano avait été placé à la pouponnière, avec d'autre enfant, à l'idée qu'il soit seul à la suite d'un tel drame une vague de tristesse encore plus forte l'envahît. Elle voulait le rejoindre et le protéger de tout danger, lui juré que jamais plus rien ne lui arriverait. Mais qu'en savait elle et qui était-elle pour lui promettre tout cela.
Le médecin toujours auprès d'elle l'informa de la situation :
Madame, sachez que je suis sincèrement navré de ce qu'il vous arrive. Si vous avez du mal à envisager la suite avec l'enfant nous pouvons l'admettre dans un centre dé ce soir.
Quoi?! Comment ça ? Répliqua Amalia toujours sous le choc de la situation.
L'enfant nous pouvons le placé dés ce soir, il vous suffit de signer quelque document indiquant que vous renoncez à lui.
Elle n'y croyait, pourquoi avait elle le droit de décidé de cela, mais de quoi lui parlé ce médecin.
Excusez moi je ne sais pas de quoi vous parler mais il est absolument hors de question qu'Emiliano aille dans un foyer, il .. il n'est pas seul... je suis là !
En effet, ce n'étais qu'une suggestion madame. Vos amis vous ont désigné comme étant la tutrice légale après eux. Vous serez donc en charge de l'enfant, il y aura de nombreux documents à faire signe concernant...
Amalia resta immobile, ne sachant pas comment réagir, son amie lui avait donné un si grand rôle dans la vie de son fils, dans la vie d'Emil, qu'elle avait considéré comme son propre fils depuis l'instant où ces yeux s'était posé sur sa petite bouille.
Une fois quelques signatures signé par ci par là, elle ne pu retenir quelques larmes quand elle aperçut le petit ange endormie dans son berceau. Il étais si calme, si beau et semblai si seul. Il venait d'avoir 1 ans il y a de cela quelque semaine et avait profité de l'événement pour s'offrir un petit week-end en famille dans le sud. Et quelque jours plus tard, tout basculer. Voilà qu'il se retrouvait comme elle orphelin... Elle ne pu empêché un sanglot de s'échapper lorsqu'elle pensait à l'avenir, à tout ce qui avait disparu avec ces parents.
Elle prie Emiliano dans ces bras et lui murmura d'un son presque inaudible
ça va aller, mon ange. Ne t'inquiète pas je serais toujours là, pour toi
Avant de lui posé, un tendre baissé sur le front, Emiliano se blotti contre elle, comme à la recherche de chaleur. Elle intensifia son étreinte et se promit de protéger ce petit ange innocent, une chose est sûr. Il ne connaîtra pas la solitude comme elle et sa mère avait pu la connaître, elle se promis de l'entourer d'amour. Elle le promis à son amie.
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