With You

Chapitre 2

J'étais couché quand je sentis une présence près de moi j'ouvris les yeux et j'aperçus une silhouette qui me fit me lever brusquement me cognant contre le mur derrière moi en essayant de m'en fuir; avant de réaliser que c'était lui le garçon du fourgon.

Lui aussi avait survécu mais tout comme moi il n'avait plus rien de l'enfant que j'avais rencontré ce jour-là. Son corps n'avait plus rien de lui d'un humain normal ; ses yeux étaient d'un rouge vif des dents acérées, des griffes comme ceux d'un animal sauvage ; il faisait deux fois voir trois fois ma taille et mon poids.

Il n'arrêtait pas de me regarder en penchant la tête signe de curiosité; quand j'eus enfin la présence d'esprit de regarder autour de moi la pièce dans laquelle nous nous trouvions n'était pas la même qu'habituellement on avait de la lumière naturelle, un lit et la cellule était propre.

*Un LIT* pensai-je l'expression surprise. Mais mieux encore on avait une fenêtre protéger par des barreaux oui mais une fenêtre qui donnait dehors ; après je ne sais combien d'année je pouvais enfin voir le soleil je sentis ma poitrine se réchauffer.

Je me retournai et vu l'autre garçon tremblotant au coin de la pièce comme un animal apeuré.
j'étais aussi apeuré mais je n'osais pas imaginer ce qu'il avait dû subir la même chose que moi; ou peut-être pire encore. Sur son corps on pouvait distinguer très clairement des cicatrices de part et d'autre c'était horrible moi je n'en avais pas car mon corps les effaçait aussitôt que mes blessures se refermaient.

Je m'approchai de lui à quatre pattes comme j'avais pour habitude de me déplacer. Je me mis entre ses jambes et je déposais ma tête sur sa poitrine je sentis son cœur ralentir lentement, c'était très agréable malgré son corps robuste et les crevasses dus aux cicatrices il était doux et confortable.

Sa présence m'apaisait et je sentais que c'était pareil pour lui, étais ce parce que nous avions vécu la même chose je n'en avais aucune idée.
Nous commentions à nous endormir dans cette position, mais soudainement je sentis leur présence ils venaient nous chercher pour d'autres expériences surement.

Depuis ce jour nous passions tout notre temps ensemble, des séances de tortures aux examens de routines car quand nous étions séparés il perdait son calme et devenait incontrôlable. Ce que les hommes en robe blanche ou comme il l'appel "blouse" préféraient éviter, il était d'une force incommensurable lorsqu'il voyait rouge il détruisait tout ce qui était au tour de lui et à force d'être soumis à des substances chimique les calmants n'avaient plus aucun effet sur lui et pour je ne sais quelle raison seul ma présence suffisait à le calmer.

Nous n'avions pas besoin de manger, il y avait déjà toutes les nutriments nécessaire dans nos injections; malgré cela je les voyais une fois par mois le nourrir avec de la viande crue c'était très troublant à regarder.

Plus on passait du temps ensemble plus je m'habituais à lui et c'était réciproque il advenait même souvent que j'entende le son de sa voix mais c'était très rare. Pour ma part à cause des tortures et électrochocs j'avais pris l'habitude de ne plus l'ouvrir et le simple fait de m'imaginer prononcer le moindre mot me donnait des sueurs froides.

Néanmoins il arrivait que nous ayons quelques moments de répits alors, j'escaladais le mure de la cellule où se trouvais la seule fenêtre qui donnait vers l'extérieure et je m'y asseyais observant le paysage. Je pouvais même voir les oiseaux occasionnellement c'était mon seul moment de bonheur, si on peut appeler ça comme ainsi. Il me regardait toujours durent ces instants sans dire un mots, n'y faire de bruit c'était très agréable.
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Un jour ou nous étions en salle de torture les scientifiques eus la brillante idée d'essayer un de leur nouveau jouer sur moi après tout j'étais déjà habitué mais je ne savais pas encore ce qui m'attendait.