3 • Sconosciuto

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Ciao le mie stelle

















Bonne lecture à vous









Elyne

Cette soirée.. cette crise.. du noir.. un noir complet, ce sont mes seules souvenirs auxquelles j'arrivais à me rappeller, mais comment ? Pourquoi ?
Je me sentais si fatiguée, si faible, mon corps était comme paralysé, je ne parvenais pas à bouger un seul membre de mon corps, il ne voulait plus réagir, plus me répondre. La seule chose que j'arrivais à sentir c'était mon mal de crâne, il me faisait terriblement mal qu'il m'usa encore plus que je ne l'était déjà.


Pourquoi étais-je comme cela ?


Je percevais en dessous de moi comme une matière assez moelleuse ce qui me fit supposer que j'étais installée dans un lit.


J'étais chez moi ? Dans ma chambre ? Si ça se trouve on m'a kidnappée et je suis dans la chambre d'un inconnu.
Pitié qu'il ne me soit rien arrivé.


Après quelques minutes à réfléchir à tout ce qui aurait pu m'arriver, j'arrivais enfin à ouvrir un œil puis un autre, j'essayais tant bien que mal de me lever mais impossible, j'étais trop épuisée pour le faire. Qu'est-ce que ça pouvait m'agacer d'être dans cet état, fragile, faible et tellement épuisée, de là à ne plus pouvoir bouger les membres de mon corps.


Auparavant je me sentais constamment faible, de l'extérieur comme de l'intérieur. On m'avait sans cesse traité ainsi, une faible, une moins que rien. C'est ce que j'étais et ce que je suis en permanence, à cause d'eux, les humains, se sont de leurs fautes si je suis devenue ainsi. Seuls mes parents me prouvaient le contraire, ils me disaient que j'étais forte et bien plus intelligente qu'eux, que ce soit physiquement ou mentalement, je l'ai remercierai jamais assez pour cela.


Ils m'ont énormément aidé et tant appris dans ma vie, je leurs en suis bien reconnaissante, ils n'y avaient qu'eux pour me redonner force et courage.



Aussitôt les yeux ouverts, mon mal de tête revient instantanément ce qui me fit me mettre en boule dans ce lit, me sentant de plus en plus fatigué, je laissais mes yeux se renfermer, m'endormant pour une deuxième tournée de sommeil.


À mon réveil je me sentais mieux, moins épuisée, je parvenais cette fois-ci à ouvrir les yeux directement et à pouvoir bouger mes membres, en enlevant la couverture je remarquai que j'étais toujours dans ma tenue de soirée. Personne ne m'a touchée pour me changer c'est déjà ça.


Je m'assis sur ce qui est donc mon lit ? J'inspectais la pièce de fond en comble dans laquelle je me trouvais, je me rendis compte que celle-ci était belle et bien ma chambre, comment se faisait-il que je me sois retrouvée ici ? Et par quel moyen ?


Toute pleines de questions viennent s'installer dans mes pensées, ne sachant pas comment y répondre je décide de faire un tour de mon appartement voir si tout était en ordre.


C'était le cas, tout était là, à sa place, rien n'avait bougé de même pas un millimètre, ne sachant pas ce qui c'était passé la veille cela me rendis nerveuse, savoir qu'on était rentré chez moi, dans mon espace vital sans mon consentement, m'effrayait.


Une fois arrivée dans le salon j'aperçus qu'ici tout était comme à son habitude, je m'avance donc vers mon plan de cuisine pour me prendre un verre avec un doliprane pour alléger mon mal de tête quand soudainement je fis demi-tour et remarquai qu'un bout de papier était poser à côté d'un autre verre et d'un autre doliprane.


Mozzafiato Où les histoires vivent. Découvrez maintenant