Jade : Alors, comment tu la trouve ?
Violetta : tu plaisante j'espère !!?
Jade : je ne comprends pas. Tu vas obligatoirement porter cette robe le samedi. Et j'espère que tu n'as pas oublier qu'on étais jeudi.
Violetta : je ne vais pas la porter. tu es aveugle ou quoi ? elle est horrible!!
Jade : tu vas la porter un point c'est tout. Ton père et moi sommes d'accord et ton gâteau viendra demain à 8:00 précise
elle claqua la porte et parti.
16:47
PDV de Francesca
je m'avanca vers mes amis : Camila, Maxi, Andrés, Napoléon, Braco.
Francesca : je n'arrive pas à y croire. Ludmila est vraiment une tarentule.
Camila: pour quoi ?
Francesca : elle a essayer de faire du charme à mon ami Tomas et elle a nié devant León qu'il ne l'intéresse pas et que c'est lui qui a essayé de la séduire. Alors que c'est absolument faut.
Maxi : tu es sûr de ce que tu raconte ?
Francesca : sûr à 100%.
Camila : moi je te crois Francesca.
Napoléon : moi aussi et sa ne m'étonne pas de Ludmila
Braco : Il faut le dire à León.
Maxi : Il ne va pas nous croire.
Francesca : Qui ne tente rien, n'a rien.
León passa par là et je l'interpella.
Il s'approcha de moi et il était beaucoup trop proche. Puis il me pris par les hanches et m'embrassa. je le repoussa en arrière et lui cracha à la figure : mais tu es fou ? ton idiote de Ludmila te ment et tu n'est au courant de rien ? Et pour quoi tu m'a embrassé ?
León : excuse moi. Et Ludmila ne me ment pas. Vous êtes juste jaloux d'elle.
Francesca : pour quoi on seraient jaloux.?
Camila : oui, pour quoi on seraient jaloux d'une fille qui trompe son copain avec un livreur de pizza ?
Ludmila : Bonjour mon amour.
León : c'est vrai que tu es amoureuse du livreur de pizza ?
Ludmila : comment ose-tu ? Et qui t'a dit une chose pareille ?
León : Camila et ses amis.
Ludmila : et tu vas croire cette idiote à lunettes et sa bande d'imbécile
Camila : je t'interdis de parler de mes amis comme çà. Sinon.....
Ludmila : sinon quoi ? tu vas le dire à ta maman ?
Francesca : sinon elle le dira à Antonio et il pourrait te renvoyé.
León : désolé
Ludmila : je te pardonne. On n'y va ? j'en ai marre de regarder cette bande d'incapable.
