- "Ne redis plus jamais rien sur elle, tu n'as pas à donner ton avis. Dit-Aaron énervé.
- On m'a dit qu'elle ne t'avait pas reconnu en plus, tu lui as dis ? Dit-Cardan, gêné.
- Non, elle ne sait rien, elle ne se rappelle pas, mais peu importe. Ça ne sert à rien qu'elle s'en souvienne. Ça ne va rien changer. Dit-Aaron à bout de nerds.
- Si tu dois lui dire, elle tombera plus vite amoureuse de toi comme ça, et tu gagneras ton pari avec elle, et vous vous mariez. Aussi simple que ça. Mais sache que je ne soutiendrai jamais ce genre de mariage, je trouve ça ridicule. Dit-Cardant en croisant ces bras.
- Tu n'auras pas le choix. Et puis je veux gagner à la loyale, je lui dirais quand elle sera amoureuse de moi. Ce sera facile de la manipulée à ma guise. Dit-Aaron.
- Et puis, tu es vraiment idiot à avoir prit celle qui est le moins proche de ces parents, tu aurais pris sa sœur et tous ce serait bien passé. Tu te compliques toujours la tache toi, tu es incorrigible. Dit-Cardan en soupirant.
- Écoute, tu n'as pas à donner ton avis, retourne à ton poste." Dit-Aaron vexé.
Deux heures se sont écoulées. Alice dans ça chambre et prenait une douche.
Des servantes s'occupaient d'Alice, :
- "Bonjour Madame, aujourd'hui c'est moi qui vais m'occuper de prendre soin de vous. Si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas à me demander. Dis-la servante.
- Bien, merci, tu peux me tutoyer, mais vous comment vous vous appelez ? Dis-je gênée.
- Ah vraiment ? Merci, c'est gentil, je m'appelle Candice, d'ailleurs, vous pouvez aussi me tutoyer... Dis-Candice.
- Merci, parle-moi de toi. J'aimerais bien parler avec quelqu'un, c'est ennuyant toute seule dans cette villa, je ne sais pas quoi faire. Dis-je gentiment.
- Moi, ?... Je viens d'un petit coin paumé en Bretagne et je me suis rendu ici pour le travail, car là où j'habitais, il y avait très peu de travail. Donc, je suis servante pour encore quelques années pour pouvoir payer mes études. Dit-elle d'un air passionné.
- Tes études ? Quel genre d'études tu veux faire ? Moi, j'ai fais des grandes études en médecine mais c'est compliqué en ce moment... Dis-je gêné.
- J'aimererais bien aller vers le domaine de la biologie, mais je ne sais pas vers où m'orienter. Enfin, avant, je voulais être Technicienne d'analyses en biologie médicale, mais je ne pense pas que j'en serais capable. C'est très dur d'être acceptée dans ce genre de travail... Dit-elle en baissant la tête.
- Je suis sûre que tu es capable de faire. Rien n'est impossible, tu sais. Moi aussi, un jour, j'aimerais bien être médecin même si c'est dur. Je suis sûre que tu peux réussir ! Je ne baisserais jamais les bras, je veux atteindre mon objectif. Dis-je avec des étoiles dans les yeux.
- Merci, c'est très gentil de croire en moi, mais c'est très compliqué... Mais vous, si vous vous mariez avec M. Aaron, vous devrait arrêter votre travail, vous savez ? C'est toujours comme ça pour nous les femmes non ? Dis-Candice interrogatrice.
- Comment ça ? Non, jamais, j'arrêterais de chercher du travail. Je ne suis même pas consentante pour ce mariage alors si on m'enlève ça, je ne saurais pas comment faire..." Dis-je perplexe.
Je crois que Candice, n'est pas au courant du défi sur l'on avait fais avec Aaron. Je crois que je la mets mal à l'aise. Devrais-je la laisser partir ou essayer d'apprendre des nouvelles choses sur Aaron ? Je vais lui demander.
- " Sinon, tu peux me parler de M. Aaron s'il te plait, je ne le connais pas. J'aimerais savoir qui il-est. Dis-je avec un grand sourire.
- Eh bien, M. Aaron est un homme très dur avec ces employés. Par contre, monsieur est un homme très forte au combat. Une fois, quelqu'un avait infiltré dans un des châteaux de monsieur et il l'avait tuer devant moi ! J'étais un peu choquée, mais je me suis dit que si l'homme serait toujours vivant, il nous aurait tous tués ! Dit-elle.
- Ah oui ? Et tu n'aurais pas des infos un peu personnelles ? haha. Dis-je super gênée.
- Ah ? Euh et bien, je peux vous dire que je ne pense pas que monsieur sera très fidèle avec vous, il achète des dizaines de prostitués tous les ans. Je ne préfère pas parler de ce qu'il fait avec, je n'aimerais pas me faire renvoyer... Dit-elle gênée.
- Ah oui ? Vous savez, vous n'avez pas à être gênée, je ne l'apprécie pas et lui aussi ne m'apprécie pas donc s'il le fait avec d'autres femmes, prostituées ou non ça ne me dérange en aucun cas. Je veux juste savoir si c'est un homme violent avec les femmes, pour tous vous dire, j'ai peur des gens violents. Dis-je pour la mettre en confiance.
- De ce que je sais, ne le répétez pas, mais à ce qu'il parait, il aurait violé plusieurs servantes. Moi, il ne m'a rien fait, ce ne sont que des rumeurs après tous. N'allés pas lui répétez ça, je risque de perdre mon travail et peut-être ma vie au passage. Dit-elle apeurée.
- Pardon, il a violé des pauvres femmes ? Est-il fou ? Je ne veux pas être marée avec un homme violant et en plus un violeur. Déjà qu'il est mafieux...". Dis-je.
Le soiré passe. Le soir vient et je dois manger en tête-à-tête avec Aaron. En entrant dans la salle, Aaron assis sur la table, avec un repas immense sur la table. Je m'assois et on commence à parler :
- "Tu peux m'expliquer ? Tu violes des femmes sérieusement ? Ça ne va pas bien ? Dis-je
- Tu racontes quoi encore, je n'ai jamais violé des femmes, ça ne va pas. Je ne suis pas comme ça. Dit-il en me regardant droit dans les yeux.
- Vraiment ? Pourquoi pleins de gens dans cette maison en parle alors ? D'où sortent ces rumeurs. Je ne veux pas me marier avec quelqu'un qui viole des femmes. Dis-je.
- Non, je te dis que c'est faux. Si je veux vraiment assoupir mes désirs, j'ai des femmes payées pour ça. Ne me raconte pas de sottises et puis toutes les servantes que j'ai eues n'étais pas très jolie... Dit-il.
- Ah oui, pourquoi alors, il y a ce genre de rumeurs ? Dis-je interrogée.
- Il y avait une servante folle de moi à l'époque, elle s'était même faufilée dans mon lit, mais je l'ai rejeté, depuis je suis persuadée que c'est elle qui fait, c'est rumeurs, mais ça fait longtemps qu'elle ne travaille plus ici. Dit-il en me souriant.
- Ah oui, elle ta toucher ? Dis-je sans le regarder dans les yeux, gênée.
- Oui, bien plus que tu penses, elle m'a fait des choses salaces, dans mon sommeil. Mais ne t'inquiète pas ma petite, je l'ai rejetez dès que je me suis réveillé. Ne sois pas trop jalouse s'il te plait ha ha. Dit-il en se moquant ouvertement de moi.
- Parce que tu crois que moi, je serais jalouse d'une pauvre femme comme ça simplement pour toi ? Ne dis pas trop de bêtises. Tu finirais par croire tes mensonges." Dis-je en rougissant.
Il se rapproche alors de mon visage en touchant mon menton, :
"Tu verras, je te donne deux jours pour tomber folle amoureuse de moi..." Dit-il en se rapprochant de mon visage.
Il est trop près, beaucoup trop près de moi, je me mis à reculer sans le vouloir.
"Tient, je pus de la bouche ou quoi ? Toutes femmes normales, serait tombées amoureuse de moi au moment où j'aurais touché ton visage, est-tu un homme, ou à tu quelqu'un dans ta vie ? Dit-il en se moquant.
Oui, j'ai quelqu'un dans ma vie" Dis-je en le regardant droit dans les yeux.
