Je ne saurais quoi faire,
Si tu étais devant moi.
Avec ce sourire sincère,
Que tu m'adressais parfois.J'étais la plus heureuse des femmes,
Lorsqu'on marchait à petit pas.
Vers cette longue tram,
Pour nous emmener loin de là.Là où nos peur disparaîtrons,
Juste éphémère, ou infiniment.
Là où nos peines nous quitteront,
Tel un mirage, tant nous le souhaitions.
VOUS LISEZ
Nos nuits sont plus belles que tes journées.
PoetryJ'écrirais quand je me sentirais nostalgique.