Chapitre 13

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Bonne lecture mes stars ! 🌹
































✫彡 Après la rose dans le chapitre,
je vous conseille de lire avec la musique Bathroom et Altitude de Montell Fish ! ミ★















































~ Chapitre 13 ~



































Rosalia Rossi






Sicile, Italie.

01.10.23

10h27

Je pousse Elyo pour descendre les marches de la cave sans faire attention à ce qu'il me dit, mes côtes me font atrocement mal et mon dos je pense que je dois avoir quelques hématomes. Cette nuit, j'ai replongé dans ce cauchemar, j'avais l'impression que je ne pouvais plus en ressortir, l'impression que c'était maman qui était revenue pour me punir et me rappeler que tout était de ma faute.

J'ai réellement cru que c'était enfin la fin, qu'elle m'aurait enfin achevé mais non, Elyo il est venu, il était là avec moi, il lui à tirer sur cette inconnue sans aucune hésitation, et il faisait comme avant.

Me répéter que je n'ai tué personne, que ce n'était pas de ma faute.

Je regrette qu'on m'ait vu dans cette situation de faiblesse, car on m'a appris qu'il ne faut plus montrer ses faiblesses.

Je descends la dernière marche et un chant qui me dit drôlement quelque chose se fit entendre dans tout le sous-sol.

Je marche jusqu'à la grande porte, suivie de près par Elyo, arriver devant j'ai un moment d'hésitation mais je me reprends vite en saisissant le poignet et l'ouvre.

A chaque mouvement mes blessures me font souffrir et me fait grincer des dents, Elyo doit le remarquer car il passe devant moi pour la pousser.

La pièce est totalement plongée dans le noir et seule la faible lumière au milieu de la pièce éclaire un corps affalé sur la chaise, attaché et tête baissée. Je m'avance vers son corps pendant que Elyo lui, s'adosse sur le mur au fond de la pièce, quand elle entend mes talons frapper contre le sol elle relève la tête.

Mon regarde passe sur chaque parcelle de son visage et je sens mon cœur loupé un battement quand je constate que cette femme qui est devant moi à des traits familiers avec ma mère.

Ce qui est impossible car ma mère est fille unique...

À moins que...

En voyant que je la détaille de haut en bas, elle abord un grand sourire tout en me dévisageant à son tour.

— Je vois que tu es toujours vivante, je t'ai loupé dommage, dit-elle en grimaçant de dégoût.

— Ce qui est dommage c'est que tu vas vite le regretter de m'avoir loupé sale garce.

Elle ne me répond pas et tourne sa tête sur la gauche pour regarder au fond de la pièce, c'est-à-dire le mercenaire, putain pourquoi elle le regarde ?

Je m'approche et prends son menton brutalement pour qu'elle arrête de le regarder.

— Quand je te parle tu me regardes capito ?

𝐀𝐌𝐎𝐑𝐄 𝐄𝐓𝐄𝐑𝐍𝐎Où les histoires vivent. Découvrez maintenant