Chapitre 2

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PDV Momo

Un bippement répétitif résonnait dans ses oreilles. Elle ouvrit brusquement les yeux sous l'énervement mais les refermas immédiatement agressée  par la lumière. Elle respiras calmement. Son genoux la tiraillait, elle avait quelque chose de planter dans le bras et sa george la faisait atrocement souffrir. Elle remarquas qu'un tuyaux en plastique, sans doute relié à une machine, s'enfonçait dans sa gorge et elle jugeas que sans, elle ne pourrait pas respirer.

Elle entrepris de réouvrir les yeux, étape par étape.

Elles se retrouvas dans une chambre d'hôpital, et l'objet présent dans son bras se révélas être une perfusion. Puis elle se remémoras sa raison dans cette chambre. Les larmes lui montèrent aux  yeux et une pensée lui restas en tête :

 "Putain ! Même mourir je peux pas faire ça correctement !"

Une infirmière rentras dans la chambre mais ressortis immédiatement et revint quelques secondes plus tard, accompagnée d'un médecin.

Momo le détaillas du regard. Blond avec des mèches rebelles, des yeux dorés éclatant rehaussés par un trait d'eye-liners. Des lunettes aux verres jaunes était remonté sur sa tête, et quand il se retournas, l'adolescente aperçut de grandes ailes rouges brodées au dos de sa blouse blanche.

Puis enfin l'homme s'approchat d'elle.

"Yaoyorozu Momo ?"

La dénommée voulut répondre, mais aucun son ne sortit. 

"Je m'appelle Takami Keigo. Je suis le médecin qui s'est occupé de toi." Il se tournant vers l'infirmière "Tu peux partir, merci."

La femme quitta la pièce et fermait la porte . Le médecin s'assit sur le bords du lit.

" Je... J'ai vus sur ton dossier pourquoi tu es là. Si tu veux savoir pourquoi ça n'a pas marché,  c'est à cause de la corde. Elle n'était pas assez solide et a lâché sous ton poids. Tu aurais quand même pu y passer mais heureusement, un majordome t'as trouvée et a appelé les urgences. Il nous a expliqué que tes parents étaient en voyages d'affaires. Si tu veux savoir, ils sont passés il y a trois jours mais sont directement repartis."

Il gardait le silence quelques instants. 

"C'est pour ça que tu la fais ? La pression, les parents absents, ta richesse qui attire les faux amis... Tu sais, j'ai connus ça aussi."

Momo détourna le regard à sa dernière phrase. Ils s'imaginait tout savoir, tout comprendre, tout ressentir. C'était tous les mêmes.



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