Prologue

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Je marche seule, les gravillers crac sous chacun de mes pas, le chant des feuilles d'été et celui des oiseaux donne qelque chose de plus à cette nature. Les seuls cheveux qui me restent arrivent à être en harmonie avec le vent chaud. Des personnes passent, me regarde de travers, d'autre on pitiés de moi alors que d'autre encore ne me regarde pas. J'ai du mal à me croire quand je pense que c'est ces personne là que j'aprecis le plus.

J'arrive maintenat près d'un lac. Je passe environ deux fois par jour devant, et je le contemple pendant quelques heures, et il m'écoute.

Je dois maintenant rentrer "chez moi". J'ouvre cette double porte, j'arrive dans un grand couloir. Tout au long de ce grand couloir, il y a des portes numérotés de 1 à 215. Je passe la numéros 16 pour entrer dans la suivante.

Quelques minutes plus tard, je vois une femme vétu d'un vêtement blancs entrer dans ma chambre. Elle me dit qu'il faut que je mange ma compote pour reprendre des forces. Elle me dit sa à CHAQUE fois et malgrés sa, je pese 40 ridicules kilos pour 1m65. Ensuite, elle me met une aiguille dans le bras, reliés à un sacs perché au dessus d'une bare en fer. Il parait que cela s'appelle " une perfusion " .

Maman. Papa. Ca veut dire quoi ?

La dame en blouse blanche m'a dit que des parents, c'était des personne sur qui tu peut compter, des personnes qui te font plaisirs avec de petites attention, des personnes qui te font des bisous, des calins, qui te console... Ca veut dire que la dame en blouse blanche, c'est ma mère ? Pourtant, elle ne me l'a jamais dit... Il parait que mes parents se sont les gens qui m'ont fabriqué. Le problème, c'est que je sais pas si ils ont fait expres de m avoir fait comme ça...

PhoenixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant