Chapitre 8 : Alisson.

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Point de vue de Lorenzo :

Mon téléphone sonnes me retirant de mon réveil, je grogne en attrapant mon téléphone.

Max.

Mais putain il est 10 heures du matin et on est rentrés de boite à 6 heures et il me réveil a des heures comme ça ?!

Je raccroche pour essayer de retrouver le sommeil mais impossible parce que je ferme à peine les yeux qu'il me rappelle déjà.

Je souffle d'agacement, je me lève de mon lit en frottant mes yeux. J'attrape mon téléphone puis je sors de ma chambre, je répond en descendant les escaliers to je en mettant en haut-parleur pour éviter qu'il ne geule dans mes oreilles.

-Sale fils de pute de tes morts, on est rentrés à 6 heures du matin et tu me réveil !

-Alors pour commencer on a les mêmes morts connard ! Et de deux j'adore te faire chier !

-Merci j'étais au courant qu'on avaient les mêmes ancêtres et que t'aimer me faire chier. Et bordel t'es où pour que ça fasse du bruit ? Dis-je en me pinçant l'arrêt du nez en fermant les yeux en marchant jusqu'à la cuisine.

-Bah Alek et Moi on est en moto pour venir chez toi ! Mon Lolo !

-Tu te fou de ma geule ? Dis-je en faisant couler mon café.

-Absolument pas, on est là dans 2 minutes exactement !

-C'est définitif je te déteste Max.

-Moi aussi je t'adore Lorenzo, oh ! Alek me dit aussi qu'il t'adore.

Je rigole en raccrochant, je pose mon téléphone sur le plan de travail, je prend ma tasse de café qui a terminé de couler.

Je bois en prenant appuie le plan de travail, bizarrement j'avais vu tout le monde sur le canapé sauf Amalia.

En restant à ma place je la cherche du regard, mais quand je la vois mes yeux s'écarquillent et je crache mon café sous le choque.

-Quesqu'elle fou là elle ?! Criais-je sous le choque.

-C'est ma tutrice ! Dit Amalia avec un grand sourire.

-Il y a des milliards de personnes sur terre, mais tu la choisi, elle ?!

-Elle ! Elle a un prénom et c'est Alisson ! Répond ma soeur.

-Non !? Putain Ama' tu m'apprend des choses de dingue !

-Attention à ce que tu dit Lorenzo. Ajoute mon père.

J'inspire une bonne fois pour toute, pourquoi elle ?! Putain je la déteste elle et son frère et sa putain de famille !

Elle ne dit rien, elle me détaille entièrement. Putain je la déteste, si je serais armé et qu'il n'y aurais personne je l'aurais buter. Je ne peux pas me la voir, elle est sa famille.

Sa sonne à la porte, et je n'ai même pas le temps de marcher que la porte s'ouvre.

-Allez il manquez plus que sa. Grognais-je.

-Et salut la famille ! Hurle Alek.

Mon regard s'endurcit, c'est pas absolument pas la journée pour me cassez les couilles là.

-Lorenzo ! Cris Max.

-Papa tu peut appeler Hanaë ? Demandais-je.

-Pourquoi faire ? Dit-il.

-Je vais tuer un des deux. Répondais-je.

-Tu peut pas faire ça, nous on t'aimes. Dit Max faussement toucher en touchant son cœur.

Je leurs faits un doigt d'honneur chacun, un a Max et un à Alek.

-Tiens et mettez le vous bien profond. Dis-je.

-Je suis sérieusement vexé mon chou. Dit Alek.

Je met mon poing devant ma bouche pour éviter d'éclater les deux en même temp.

-Plus sérieusement appeler Hanaë pour qu'elle me retire cette merde de plâtre.

-Elle ne te le retira pas puisque tu doit le garde jusqu'à Samedi. Dit mon père.

-Maman ? Essayais-je de négocier.

-Ton père a raison Lorenzo. Répond-t-elle.

Je souffle d'agacement, c'est vraiment pas ma journée. On peut même pas retirer cette merde de mon bras.

-Pourquoi y a Alisson ici ? Demande Alek.

-C'est la tutrice de ma soeur ! Dis-je faussement joyeux.

-Ah.. Chuchote Max.

-Je me prépare et on y va. Annonçais-je.

-Vous partez tôt ? Demande ma mère.

-Il est 10 heures et ça commence à 11 heures, on va se préparer chez Max. Répondais-je en montant les escaliers.

Mes cousins restent en bas avec le reste pendant que je monte jusqu'à ma chambre.

J'entre dans ma salle de bain, rapidement je retire mes vêtements. J'entre dans la douche en me lavant rapidement.

Une fois laver je me sèche, j'enfile mon caleçon et mon pantalon.

Je me brosse les dents et je met un coup de brosse dans mes cheveux encore humides. Je met mes chaussures, j'enfile ma chemise.

Je ferme les boutons de ma chemise, avec un gros sac je met mon ensembles pour la mission a l'intérieur, je ferme le sac que j'enfile sur une de mes épaules.

Je descends les escaliers en mettant mon téléphone dans ma poche, une fois descendu je fais signe au garçons de me suivre.

J'ouvre la trape on saute par flemme de descendre par l'échelle, je marches jusqu'à la pièce où se trouves des centaines d'armes.

Ils me suivent, j'ouvre la porte avec les clés, quatre verrous. Une fois la porte ouverte j'ouvre mon sac en prenant 9 petites bombes. Puis je referme le sac, je prend en mains 3 fusils, 3 flingues.

Je donne un flingue et un fusil à Max et Alek, une fois qu'on est armés on sort de la pièce et je ferme à clés.

On ouvres la trape et on y ressort avec les armes.

-On y va. Annonçais-je a ma famille.

-N'oubliez pas d'activer les caméras. Nous dit mon père.

-Ouais t'inquiète pas ! Dis-je.

On entres dans le garage, je prend le voiture. On montes a l'intérieur, je suis au coter conducteur est directement je fais gronder le moteur.

J'installe le sac à l'arrière avec Max.

Puis je démarre, c'est partis. Dès que nous arriverons nous nous préparerons pour la mission !

AlissonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant