"Retour Vers l'Upper East Side : Les Intrigues de Elisabeth Bass"

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La journée se lève sur l'Upper East Side, baignant chaque ruelle dans une lueur dorée.

Arrivée a l'école. Blair m'interrompt dans mes pensées.

- Elisabeth, Serena cache quelque chose. On doit découvrir ce secret.

- Blair, tu sais que forcer les secrets peut parfois les détruire.

- Mais c'est Serena, E. On mérite de savoir.

La salle de classe est le lieu parfait pour les rumeurs.

- Qu'est-ce que tu en penses, Elisabeth ?

- Nate, laissons Serena décider quand elle est prête.

Les couloirs résonnent de chuchotements sur le mystérieux secret de Serena. Chuck, en tant que frère protecteur, exprime son désaccord.

- Tu es trop laxiste, Elisabeth. On devrait savoir.

- Chuck, la vie n'est pas toujours aussi simple que tu veux le croire.

La tension persiste tout au long de la journée. Blair et Nate essayent de sonder Serena.

- Elisabeth, aide-nous à convaincre Serena.

- Blair, parfois, il vaut mieux ne pas trop fouiller.

Le soir venu, dans le confort feutré du salon des Bass, les disputes éclatent.

- Pourquoi es-tu toujours du côté de Serena ?

- Parce que je choisis d'être du côté de l'amitié, Chuck.

Dans l'obscurité de ma chambre, je me demande si protéger les secrets de Serena est vraiment la meilleure chose à faire. Après tout, l'amitié ne se construit-elle pas sur la confiance, même quand cette confiance est mise à l'épreuve ?

Quelques heures plus tard...

- Elisabeth, aujourd'hui sera une journée incroyable. Quand maman a dit qu'elle voulait que je devienne l'égérie de sa ligne de vêtements j'ai failli tomber.

- On a vu ça. C'est fantastique, Blair ! Tu seras resplendissante.

L'éclat de Blair est contagieux. La journée s'annonce pleine de promesses jusqu'à ce que Chuck fasse irruption dans la sérénité.

- Tu devrais plutôt être l'égérie, Elisabeth. Blair n'est pas la seule à avoir du style.

- Chuck, ça ne se décide pas sur un coup de tête.

Les échos de l'orgueil de Chuck résonnent dans les couloirs. Lui et Nate se lancent un défi pour l'entrée à Darmouth, ébranlant l'assurance de Dan.

- Dan, tu n'as aucune chance. Chuck est imbattable.

- Nate, la vie n'est pas une compétition constante.

Les tensions s'intensifient, mais la journée prend une tournure inattendue lorsque Dan invite Serena à un rendez-vous.

- Elisabeth, Dan et Serena se rapprochent. Ça me rend nerveuse.

- Blair, peut-être que c'est ce dont ils ont besoin.

Le soir, dans la suite de Chuck, une soirée est organisée pour célébrer la fin de la semaine d'orientation. Des rires résonnent, mais l'ombre de la compétition plane.

- Elisabeth, tu devrais participer au défi. Ça pourrait être amusant.

- Je ne veux pas m'impliquer dans cette rivalité fraternelle.

Pourtant, la rivalité atteint son apogée. Dan se retrouve dans une position délicate, et Blair, délaissée, trouve du réconfort dans une amitié inattendue avec moi.

- Elisabeth, merci d'être là. Les garçons peuvent être insupportables.

- Blair, nous sommes plus fortes ensemble.

La nuit tombe, et l'éclat de cette journée révèle aussi les zones d'ombre qui se cachent dans les recoins de notre cercle sélect. Parfois, la compétition et la brillance dissimulent les fissures de nos relations.

Le lendemain...

- Elisabeth, ce soir, c'est notre soirée pyjama spéciale. Serena a déclaré forfait, et je voudrais inviter Jenny à nous rejoindre.

- D'accord, Blair. Ce sera une soirée inoubliable.

La soirée pyjama commence, mais je ne peux m'empêcher de ressentir l'absence de Serena. Jenny, néophyte dans notre univers sélect, découvre une réalité façonnée par des masques sociaux.

- C'est si différent de Brooklyn. Vous êtes tous si... sophistiqués.

- Chacun a son masque ici, Jenny. C'est à toi de décider lequel porter.

Blair et moi jouons les maîtresses de cérémonie.

La nuit avance, et des révélations surgissent, dévoilant des facettes cachées de nos vies. La naïveté de Jenny se heurte à la réalité, et même si elle ne fait pas partie de notre cercle, je sens un devoir de la guider.

- Jenny, la vie ici est un jeu de masques. Choisis le tien, mais n'oublie jamais qui tu es.

La soirée se termine dans une ambiance chargée, les masques remis en place.

La nuit s'annonçait comme une échappatoire, un moment de détente entre nous, Blair et moi.

Cependant, les plans de Blair prenaient une tournure inattendue lorsque son regard malicieux se posa sur une veste dans la vitrine du magasin de sa mère. Après une action ou vérité

- Vous savez les filles, cette veste serait parfaite pour notre petite Jenny. Un cadeau de bienvenue dans notre monde.

- Blair, voler n'est pas notre style. Je ne peux pas être complice de ça.

Blair, avec son sourire charmeur, tenta de me convaincre.

- Elisabeth, ma chère, c'est juste une petite farce. Personne ne sera blessé, et Jenny mérite de se sentir intégrée.

Nate exprima sa réticence, et je sentis son soutien dans ma décision.

- Blair, c'est risqué. On ne devrait pas faire ça.

- Tu est si ennuyeuse . Allez, c'est pour la bonne cause.
-
Le dilemme m'étreignit, oscillant entre mes principes et le désir de ne pas contrarier Blair.

- Blair, je ne suis vraiment pas à l'aise avec ça. Trouvons une autre façon d'accueillir Jenny. Avec un autre gage.

Blair, avec une persévérance digne d'une reine manipulatrice, tenta une dernière fois de changer ma position.

- Elisabeth, sois une amie. Une petite escapade ne fait de mal à personne.

Voyant son insistance, je cédai à contrecœur, d'habitude je n'aurais jamais réagi comme ça mais Jenny me fait de la peine et ça c'est rare.

- D'accord, Blair. Mais c'est la dernière fois.

Blair, triomphante, esquissa un sourire, et nous nous embarquâmes dans cette escapade nocturne qui, je le savais, laisserait des traces indélébiles sur notre conscience. Parfois, pour préserver une amitié, il fallait faire des compromis douloureux.

Après avoir abandonné Jenny dans le magasin nous aller nous coucher.

Le jour se lève sur l'Upper East Side, illuminant les rues pavées, mais la lueur dans nos yeux dissimule les secrets que nous gardons farouchement. Les masques restent en place, mais sous leur poids, je ressens la fragilité de nos relations éphémères.