Entre 1804 et 1809, Rosabella Loveland fait exprès de se faire prendre en train de voler des documents très confidentiels afin d'aller en dans la prison où sa petite sœur est incarcérée pour la protéger. Elle a bien fait, car, cette prison n'est pas...
Rosabella me regarde d'une façon étrange. Je ne sais pas pourquoi, mais elle a l'air choquée.
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Rosabella choquée sous la douche
Oh, comme elle est jolie! Je lui fais un petit sourire amical qu'elle me rend plus ou moins avant de continuer à me laver le kiki. Après avoir bien frotté partout, je sors et retourne lire dans ma jolie petite cellule et chantonne.
Vallewida: Sweet little bumblebee, I know what you want from me, tupulutulala tupulutulala, sweet little bumble bee, more than just a fantasy...
Lorsque je lève les yeux, croyant voir une forme humanoïde, je remarque Evan, souriant à son habitude.
Vallewida: Ce n'est pas grave... Je peux vous aider?
Evan: J'aimerais savoir si tu avais récemment vu ma torah quelque part... je la cherche partout depuis des jours et des jours, mais je suis incapable de la retrouver...
Vallewida: Non, je n'en ai jamais vu, désolé. À vrai dire, je ne savais même pas que tu étais juif...
Evan: Bon, je vais continuer à la chercher dans ce cas, merci quand même!
Vallewida: Pas de problème.
Il retourne à la recherche de sa torah et je continue mon livre nommé "12 cadeaux pour un soldat" par l'auteure Elisabeth Jouvin. Ce livre a toujours été mon préféré, c'est même celui-là qui m'a donné envie à m'enrôler dans l'armée.
Alors que je suis pris dans ma lecture, je vois Evan courir après un étrange demoiselle se faisant une petite moustache avec ses doigts, levant presque son bras au complet, un livre en feu à la main et criant "mort aux juifs".
Ce n'est vraiment pas très gentil... Je mets ma croix dans ma poche et me lève afin de calmer les tensions. Arrivé près d'eux, je tente de les raisonner, mais ça tourne mal et je me jette le livre au visage. Quand je me réveille, je suis dans un lit à l'infirmerie.
À mon avis, je ne suis pas passé loin de la mort! Heureusement que j'avais ma croix et que le seigneur était là pour veiller sur moi. Ma vision est toujours brouillée, mais je vois et entends les lumières divines m'appeler de mon lit de mort.
