⨃Lave en fusion⩀

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Je m'excuse pour mon inactivité mais j'ai ce qu'il s'appelle le "syndrome de la page blanche" qui se manifeste chez moi par une inspiration débordante pour la fin de mon histoire, ce qui m'est un peu inutile dans ce cas... Sur ce, bonne lecture.

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Le sons de sa chute fut assourdi pas les herbes folles de la forêt où ils se trouvaient. L'astre nocturne éclairait d'une lueur argentée le visage essoufflé du jeune garçon, un kendo (katana en bambou) a la main. Depuis des heures, il suivait les instruction de son mentor. Ses poumon le brulant comme de la lave à force de s'entrainer. 

 Sur le côté, une petite fille au long cheveux noir et orange tourna son regard rose inquiet vers la pourfendeuse se trouvant à sa droite qui lui répondit d'une main rassurante sur sa tête avant d'aller voir son "apprenti". S'accroupissant à sa droite et passant sa main dans son dos, la rousse tentait de le calmer. 

"Tu veux qu'on en arrête là pour aujourd'hui ? Tu progresses rapidement, mais si tu continue à t'acharner, tu risque de déchirer tes poumons." Sa voix, semblable à un clapotis de ruisseau, fit renoncer le pourpre qui capitula d'un faible hochement de tête. D'un geste doux de la main, elle intima à la petite démone de venir prendre le kendo tandis qu'elle pris le jeune garçon dans ses bras et prirent le chemin pour se rendre à l'auberge dans laquelle ils séjournaient depuis trois jours. 

"Demain, nous partons. Je ne lui serais pas d'une grande aide encore très longtemps..." Songea t'elle alors que Nezuko lui tenait sa jupe, la guidant à travers les passants et allées de cette petite ville. L'auberge était bien modeste, mais plutôt agréable et calme. 

Arrivé dans la chambre qu'ils occupaient, la pourfendeuse posa Tanjiro dans son futon avant d'aller à la petite table qui se trouvait dans la pièce et sortis son katana ainsi qu'un chiffon qu'elle utilisait pour le nettoyer. Dans le tiroir de la commode, elle alla chercher de l'huile de camélia qu'elle avait acheté au marcher de la ville. Malgré ses années dans le métier, elle n'avait cassé qu'une fois son katana, ce qui lui valait un minimum de reconnaissance de son forgeron qui était légèrement fou sur les bords. Elle en prenait donc soins, étant son seul moyen de se défendre elle et les autre.

Un battement d'ailes familier fit vibrer l'air contre la peau d'Hanae et lui dit tourner la tête. "Tenshi, quelles sont les nouvelles ?" Elle était heureuse de revoir son compagnon plumé et tendis donc sa main afin qu'il puisse s'y posé. La main de la pourfendeuse passa sur le plumage de l'oiseau dans un geste d'affection avant qu'elle ne détache les deux lettre attachées à la patte droite de l'animal. 

"De qui viennent t'elles ?" Dit elle en ouvrant la première, le froissement du papier étant le seul son présent dans la pièce avec celui de la couverture qui était sur Tanjiro tandis que sa petite soeur dormait toujours adossée contre le panier dans lequel elle était transportée. "Des piliers Tomioka Giyuu et Rengoku Kyojuro !" Cria l'animal, finissant de réveillé le jeune Kamado. 

Soupirant avec un sourire, la pourfendeuse passa son doigt fin sur le papier, décriptant les kanjis inscrit d'une écriture profonde sur le papier. "Tomioka-Sensei s'applique toujours dans ses lettres" Ces pensées la firent sourire. Vu sa difficulté, une écriture trop légère, bien que visuellement élégante, était illisible à ses doigts.

"Mademoiselle Hanae ?" L'interrogea le pourpre. "Qu'est-ce qui vous fait sourire ?" Tournant sa tête vers le jeune garçon, elle lui fit à lui aussi un sourire simple. "Juste une lettre de la part de mon maître." Le regard incompris de Tanjiro se posa sur le doigt de la rousse parcourant lentement la surface du papier, se poussant à s'approché. 

⫷Histoire oubliée⫸ Kokushibo x OCOù les histoires vivent. Découvrez maintenant