Chapitre 4

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T/p : "Si vous êtes espagnole, alors Mikasa est aussi à moitié espagnole? Sa mère est japonaise non ? Son père et votre mère sont liés ?"

Livai se tourna et te regarda avec les yeux plissés. "Comment sais-tu ça?" siffla-t-il.

T/p : "Mikasa me l'a dit", dis-tu un peu effrayé.

Livai : "Je pensais qu'elle te détestait."

T/p : "Non, on est amis maintenant."

Livai secoua la tête face à ton ton aérien. "Oui, elle est à moitié." Il y eut un petit moment de silence.

T/p : "Wow, c'est vraiment incroyable. Mais attendez. Quelque chose ne va pas. Pourquoi vous portez le nom de famille de votre mère ? "

il devient d'un coup tendu.

Le bus est arrivé juste à ce moment crucial, te faisant grogner intérieurement.

Non! Bon sang, j'étais si proche.

Livai te poussa en avant et grogna un au revoir précipité, se dirigeant vers l'université.

Tu es rentré et tu t'es assise, l'esprit flou. Tu n'avait pas vraiment fait le rapprochement entre les deux lorsque Mikasa t'a dit cette information auparavant, mais maintenant, avec l'incident de tout ta l'heure, tu as réalisé quelque chose d'important. Livai et Mikasa partage le même nom de famille mais c'était la mère de Livai qui était le parent par le sang ; il était clair que le père de Mikasa portait le nom d'Ackerman. Sa mère était japonaise, donc Mikasa ne pouvait pas porter le nom de famille de sa mère. A moins qu'il te manquait des informations. Cela n'a donc abouti qu'à deux résultats possibles.

1. Livai était le produit de l'inceste. Son père aurait également pu être lié par le sang à la famille Ackerman.
Oh, putain non. Définitivement non. Cela te laissait donc avec la deuxième hypothèse.

2. Le nom de famille de Livai était le nom de jeune fille de sa mère.

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Lundi 16 mars

Livai traversa les couloirs, se dirigeant vers la cafétéria. Il n'était pas un grand fan de café, mais en cette agréable matinée, il avait envie d'une grande dose de boisson caféiné. Il était grincheux, fatigué et il n'était que 8 heures du matin.

Sa dernière séance avec t/p a été plutôt délicate. Il ne voulait pas y penser mais il ne pouvait pas s'arrêter d'y penser. Il savait qu'elle le découvrirais à coup sûr. Elle n'étais pas une idiote. Il aurait juste souhaité que Mikasa reste silencieuse.

Ce n'était pas qu'il était gêné que son père est laissé sa mère se débrouiller seule avec leur fils unique ; il est sorti de cette phase il y a longtemps. C'était qu'il ne savait pas comment tu allais le prendre. Tu semblaient calme, mais en même temps, d'après son expérience, les gens étaient enclins à porter des jugements pour les moindres choses. Tu n'avait pas eu l'air méprisante. Il savait que tu irait chercher Mikasa pour avoir plus de nouvelles de sa vie personnelle et qu'elle, avec sa rancune envers lui, sauterait sur l'occasion pour salir son nom. Mikasa n'était en aucun cas une commère, mais qui pouvait prédire ce que les filles faisait quand elles détestait les gens. Il ne voulait pas ça. Même s'il ne se souciait jamais de ce que les gens pensaient de lui, il voulait paraître bien à t'es yeux. Ce qu'il ne pouvait pas comprendre lui même, c'était si ce sentiment venait du fait que tu étais son élève ou si c'était complètement autre chose. Il espérait juste que les nouvelles concernant sa famille ne se répandraient pas dans toute l'université. Il n'avait pas vraiment besoin de publicité inutile. Il Secoua la tête face à ses pensées, il regarda autour de lui, essayant d'identifier son emplacement.

STASTITICALLY SEDUCED (Professeur X Reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant