Chapitre 2: Peut-être pas

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PDV Izuku

Les cours sont fini, je prend mon sac sur mon dos et sort de la salle. Ma main sur la lanière de mon sac, je marche dans se couloir vide, j'ai attendu que tout le monde part, je ne voulais pas me retrouvé dans une foule plus qu'agité par la fin de journée.

Je sort enfin du bâtiment en direction de chez moi, il fait bon aujourd'hui, et j'ai pu garder mon pull sur moi, comme une armure. Pouvoir enfouire mes mains dans mes manches et devenu une réflexe constant, un besoins.

Je marche doucement, profitant de l'air frait du soir quand je sens une main me tirer en arrière dans une ruelle, me fesant tombé sur le cul..

Izuku: Aïe..

Shigaraki: Alors comme sa on a perdu du poids, tu croit vraiment que personne ne t'a reconnu, tout le monde parle de toi au lycée, mais sa ne change pas que tu est toujour une merde sal gay.

Izuku: Shigaraki si te plais, laisse moi... je suis désolé si j'ai pu te dérange aujourd'hui mais je voudrais que tu m'oublie..

Shigaraki: Dans t'es rêve gros tas.

Gros tas..

C'est comme sa qu'il a pris l'habitude de m'appeller et je sais se qu'il va en suivre..

Il m'attrape le col, se penchant en avant vers moi, moi toujour au sol.
Puis cette douleur que j'aurais aimé oublié, la douleur de sa main claquent sur ma joue.

Ma tête tourné sur le côté, la peur au ventre, il continu c'est coup sur mon corps maintenant bien trop fragile.

Shigaraki: C'est con maintenant tu plus de graisse pour supporter les coups.

A quoi je pensais.. revenir au lycée.. prendre un nouveau départ, impossible.

Allongé de tout mon long sur le sol froid en béton, les coups s'arrête soudainement. Il en a marre?

???: Lâche le où j'te crève.

Shigaraki: C'est bon. Je me tire, de toute façon j'en avais fini avec lui.

Qui es? Je ne connais pas sa voix.

Je sens des mains me redressé pour me calé sur le mur à côté. J'ouvre enfin les yeux que j'avais fini par fermer me laissant à mon sort.

???: Tu va bien?

C'est quoi cette question, évidemment que je vais bien, sa ne se voit pas.. je viens de me fait tabasser, pour changer..

Je fini par regarder la personne se trouvant en face de moi. C'est lui, le beau blond de se matin.

Izuku: Katchan..?

Katsuki: Hein?

Izuku: Pardon.. mais tu t'appelle bien Katchan..?

Katsuki: Non, en vrai je m'appelle Katsuki. Tu est blessé je vais t'enmené a l'infirmerie.

Izuku: Mais c'est fermé...

Katsuki: Je sais.

Il m'aide à me relever. Titubant sur mes jambes a cose des coup.

Je pêne a marché et il l'a remarqué.

Katsuki: Attend viens la.

Il vient donc me porter sur son dos, c'est mains en dessous de mes cuisses et mes bras autour de son cou, ma tête sur son épole, je ferme les yeux, voulant oublier la douleur. Quelque larme coule sur mes joues. Je n'y retournerais pas demain, je ne veux plus y aller, ma mère avais raison, ce lycée ne veux pas de moi.

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