chapitre 17

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Le cri

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Le cri

Pdv : t/p


J étais enfin arrivé.
Je passe le grand portails de métal et marche, frigorifiée, direction l entrée.
Au final je me suis retrouvé bien maline , toute trapper, sans un seul alibi potable pour me retrouver dans ce manoir.
Je lève la tête et aperçu les lumières allumé au rez-de-chaussée, mais aussi au troisième étage. Une chambre, je vois une ombre féminine qui tourne en rond. Puis qui ce tourne face à moi avant d ouvrir la fenêtre.
C'était Machi .

_ t/p ! Ma belle , ne rentre pas .

Je plisse les yeux.
_ pourquoi Machi, pourquoi je n'ai pas le droit de savoir ?

_ Fuit , cours sans bruit aussi loin que tu peux, ils nous ont sûrement entendu, que lui meurt je m en fichier mais pas toi est Kuroro.

Je ne comprends plus. Hisoka vas mourir ? Je me jette sur la porte ,mais avant que quoi que ce soit ne ce passe, un petit homme aux cheveux noir et yeux bridé me prend par derrière. Me plaquent les bras dans le dos, je serre les dents, retenant un cri .

Il me traîne juste l intérieure, luxueux et garnit de table aux repas savoureux par centaines.
Un jolie petit monde ce trouve ici , sertin semble plus important, restant par leur tenue coloré et excentrique, les nombreux autres son vêtements de noir, semblable à des garde du corps, ou bien des clients.

_ Regarder ce que j'ai dénicher.
Dit l homme qui me tient.

Tout les viage ce tourne vers moi .
Je finis par remarquer la personnes aux longs cheveux, qui menace Hisoka de derrière  arme braqué sur sa crâne.

Je panique. Ce n'est pas une blague.

_ Oh je vois, tu te permets complice en plus de t'as propre trahison ?
S exprima l homme sur les escaliers .

_ Relâcher le !

Hisoka cherche à me regardait, tournant sa tête. L homme auc longs cheveux lui enfonce larmes avec plus de violence.
Pris de rage il ce retourne d un coup sec et assimile un coup dans le ventre à son agresseurs, le tout avec un incroyable vitesse.
Il fit prévoir des cours de plus en plus violent , jusqu'à faire signer le mafieux.

Ses sublime mains désormais tâché de sang , il en lécha une partie avec délice sur son visage.

Personne ne reste stoïque. Les voilà tousse jetter à sa poursuite tendit qu'il esquive chaque coup .
Il était sublime, c'était surhumaine d être aussi fort et gracieux à la fois.
Je fut hypnotisé durant un temps, mais j'ai vite réalisé qu'il ne maîtrisait plus le jeu .
Ses adversaires commencent à sortir les armes, et je comprend enfin.
Dans cette histoire, je suis un fardeau.

Mon professeur un peu trop sexy/ Hisoka x reader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant