Ils s'entrechoquent, se bousculent, se cognent tous les uns dans les autres.
Ils tourbillonnes dans ma mémoire et seul les plus noirs surgissent en image .
Il y en a de beaux pourtant mais non, ceux-là, ils sont enfermés et ne peuvent s'échapper pour essayer d'apaiser les autres.
Et les autres, eux, libres,me tuent petit à petit, images après images.
On ne peut pas les oublier, il suffit d'un geste, d'une parole, ou encore d'une odeur pour déverrouiller le cadenas qui les retiens.
Quand ce cadenas est ouvert, petit à petit se montre l'enfer.
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Âme en peine
PoetryCes « poèmes » en quelque sorte, sont comme mon petit jardin secret à moi, aujourd'hui, j'ai décidé de vous les partager pour la première fois ! N'hésitez pas à me faire des retours. Une version en anglais arrive bientôt Nané