Recueil Histoires Countryhumans

Révélations sur Vichy

Pov France :

Aujourd'hui c'est le week-end.
Je me leve vers 10 heures.
Et descend dans le salon pour dire bonjour à ma famille.
Et..je vois Vichy..coudre des vetements ?

Je beug quelques secondes.

-Bonjour petit frère.
Me dit le concerner

-Bonjour mon fils.
Me dit mon père.

-Bonjour France.
Et Libre.

-Bonjour mais.. Vichy tu fout quoi avec une machine à coudre ?
Demandais je.
Curieux.

Je m'approche et regarde ce qu'il fait .

-Je fait des ouvertures pour mes ailes. Je viens de recevoir ma commande de vêtements et je préfère le faire maintenant que plus tard.
Me dit-il d'un ton très calme.
Je fronce les sourcils et me frotte les yeux.

-Depuis quand tu sais coudre ?

- Depuis 1940. C'est les femmes SS qui m'ont appris à faire ça.

Je beug.
Et Libre s'exprime.

-Mais.. t'étais pote avec tous les allemands ou quoi ?
Lui aussi ne voulait pas y croire.

Papa ne disait rien.
Il a sûrement pas envie de s'exprimer sur le sujet...
Je prend un croissant et le bouffe en le regardant coudre ses vêtements comme un pro.
En plus c'est des vetements de marque..mais lui il met que du Nike,Jordan et tout le bordel la..

-Euh..tu peux nous dire d'autres anecdotes comme ça ?
Dit je.
Espérant qu'il accepte..je dois l'avouer.. je me demande comment l'axe le traitait..

-Alors déjà,j'ai dîner plusieurs fois avec les chefs de l'axe. Genre le Tonton H,le pizza yolo et le japonais.

J'écoute attentivement ce qu'il dit.

-Dit toi que les femmes SS me draguaient TOUT LE TEMPS...parce que je suis français..

Il soupira longuement.
Et commença à ranger la machine à coudre.
Je reste silencieux.

-Aussi j'ai voyager un peu partout..mais après y a trop de dingueries qui se sont passés..

Libre grogna un peu.
Je reste toujours aussi silencieux.
Repensant à cette époque..monstrueuse..
Puis je m'emporte.

-Pendant que toi tu te fesait chouchouter par l'ennemi-

-France ce n'est pas le bon moment.
La voix grave de mon père résonna.
Je baisse la tete.

-Desoler papa..

-Ce n'est rien. Profite plutôt du fait qu'ont soient de nouveau en famille s'il te plait. Je ne te dit pas d'oublier le passé.. mais de ne plus trop y penser.
Dit il calmement.

-Plus facil à dire qu'à faire.
Je dit ça d'un ton sec et remonte dans ma chambre.

Voilà ! J'ESPÈRE QUE CE CHAP VOUS AURA PLUS