histoires d'horreur

Histoire 1 ; le manoir A capella

* je préviens que cette histoire est inventée par moi et que les droits d'auteurs existent donc avant de la poster et de dire que s'est la votre sachez que si vous ne me demandez pas je peux porter plainte contre vous :)

Cette histoire date d'il n'y à je ne sais pas quand. Très peut d'information ne sont données. Un souffle calme, une chanson. Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é,...

Connaissez-vous l'histoire du Manoir A capella ? tout à commencé le jour où la femme du baron Euchtone mis au monde une fille. Leurs première fille. il décidèrent de l'appeler Accap. 2 ans plus tard, ils firent naitre une deuxième fille, qu'ils appelèrent Ella. 3 ans plus tard, ils firent naître la petite dernière. ils décidèrent de faire un mix des deux prénoms ; Acapella. Leurs trois filles avaient un don improbable dans le chant. mais la plus forte, c'était Acapella. les deux sœurs, jalouses, ne montraient plus aucuns signes d'affection envers le cadette. Pourtant, celle-ci était un ange.

Les parents, tellement fiers de leurs "prodige", la favorisèrent. À cette époque là, la femme n'avait pas son mot à dire, mais ils aimaient tellement leurs petite Acapella qu'il la traitaient comme on traitait les hommes à cette époque.

Accap et Ella n'arrivaient pas à admettre que Acapella chantait mieux qu'elles alors qu'elle avait moins d'expérience qu'elles. Elles avaient beaux tout faire ; chanter en se forcent, s'entraîner jours et nuits, boire beaucoup,... rien n'y faisait ; leurs sœur cadette chantait mieux.

Un soir, ensevelies sous la rages, les deux jeunes filles prévirent un plan ; tuer leurs cadette. Elles se rendirent tard le soir dans la vaste chambre de Acapella, qui dormait profondément. Elles la secouèrent comme un vulgaire sac à patate jusqu'à ce qu'elle ouvre l'œil ;

-Oui ? souffla-t-elle en se frottant les paupières.

-Ma sœur chérie... Il y a un problème en bas... On ne veux pas que papa et maman nous cries dessus... Tu peux venir nous aider... s'il te plaît ?

-d'accord. dit la jeune fillette.

Elles s'en allèrent au salon. La cheminée allumée éclairait la salle silencieuse.

- Il n'y a rien ! lança la cadette.

- Si, si ! Regarde de plus près ! insista Accap.

Acapella se penchât. Alors qu'elle allait dire une deuxième fois "non, il n'y a rien !", ses deux sœurs, sourire au coin des lèvres, la poussèrent dans le feu. Elle avait beaux se débattre ; ses deux sœurs, à l'aide d'un grand bâton de fer, la maintenait dans le feu en la tapant. les parents n'entendaient rien, étant au troisième étage. Après plus ou moins trente secondes, le feu s'éteignit et il ne restait plus que le cadavre de la cadette. Les deux fillettes sourirent et retournèrent se coucher. Se n'est qu'un accident !

Mais le lendemain matin, le cadavre avait disparu, et dans le lit, Acapella, tête barbouillée de cendres, cheveux jadis blonds maintenant noirs et noués, robe de nuit blanche tachée. Devant le regard effrayé de se parents, après avoir dit "ils sont tous pareils", elle jeta ses deux sœurs dans la cheminée. Ses parents prirent fuite.

Si jamais il te passe par l'esprit de visiter se manoir sache que ta vie est en jeu. Sois si la cheminée s'allume toute seule ou si tu entend une vois de jeune fille chanter ; tu vas être Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-évTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-éTu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é Tu-é

dans la cheminée.