Batard.

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Courant sans m'arrêter, l'es battement de mon cœur se mit à avancer plus vite que moi mais je n'y fit pas plus attention et continua de courir.

Pourquoi ?

Après quoi ?

Ou plutôt après qui..?

Après un énièmes connard que la terre porte dans ses bras,

– Je vais te choper enculer que tu le veuilles ou non après tout le consentement c'est pas trop ton trucs non ?! Hurlait-je le mieux possible, mes mot saccadé par mon essoufflement.

Il hurla à son tour.

– SALOPE !

Plus fort que moi encore.

Ce simple mot me fit avançait plus vite alors qu'il alla se jeter dans une ruelle qui se révéla être un cul de sac.

« Idiot. » Pensais-je.

Alors que l'homme était a bout de force je m'approche dangereusement de lui et posa mon pied -habiller d'une belle paire de Rangers qui avait bien vieilli tout de même- sur son thorax une position de faiblesse, je voulais qu'il comprenne se que ça fessait d'avoir peur de mourir et d'être soumît sans pourvoir rien y faire.

– Alors comme ça on s'amuse à violé des gamine vieux tas ? T'as kiffé, hein et bah tu sais quoi je vais te rendre l'appareil ! J'allais continuer mais cet enfoiré me coupa la parole,

– S'il te plaît me fait pas de mal, j'ai une famille elles comprendraient pas ! Je t'en supplie me tue pas ! Suppliât-il le visage fronçais de peur.

Un ricanement inattendu me prit.

– Tu te fous de moi ? Tu crois que je vais avoir de la peine ? Que t'es petites supplications vont marcher sur moi ? Et bien non, t'as famille j'en ai rien à foutre, ok ? De toute façon elles seront certainement mieux sans toi !
Et alors que j'allais enfin commencer à m'en occuper je reprit ma phrase.
Tu vas faire quoi, dire non ? Je crois pas !

Je me mis à rire, un rire froid sans âme.

Puis je me pencha sur l'homme, appuyant sur son thorax encore plus, puis je sortie ma lame, -qui était ranger dans son étui attaché à ma taille- avant de faire glisser celle ci de sa gorge à son bas ventre en une ligne droite.

Un crie grave et essoufflé vins à mes oreilles quand je me mis à appuyer doucement au niveau de son bas ventre, la lame commença à transpercer cette zone d'une lenteurs douloureuses.

Un sourire satisfait se mit a fleurir sur mes lèvres alors que d'un coup sec, je planté le couteau dans sa cuisse, un crie me répondit.

Tu n'aurais jamais dû touchée cette gamine, enflure.

everything that goes through my head.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant