Chapitre 4

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Pdv Tp :
Je me fait plaquer directement contre celui ci assez violemment.

Je lève la tête et vois un garçon, du nom de Bambam, de ma classe, accompagné de 3 filles que je n'ai jamais vu.

Bm (Bambam) : Alors comme ça tu fais copain copain avec le nouveau ? T'es au courant que t'as aucune chance par vrai ?
Fille 1 : Ahaha je crois qu'elle pensait le contraire !

Je baisse la tête les larmes me montent aux yeux. J'étais juste gentille avec lui c'est tout...je sais que j'ai aucune chance.

Moi : Non...
Fille 2 : T'as dis quoi ?
Fille 3 : Articule nan ??
Fille 1 : Laissez tomber les filles. Je suis sûre qu'elle parle même pas notre langue. Sérieux je l'ai jamais entendu prononcer un mot correct.

Je serre les poings et la rage commence à monter. Elles commencent à partir et je ne sais pas pourquoi mais ça sort tout seul.

Moi : Et va te faire foutre tu comprend ??

Elle s'arrête net puis se retourne doucement, les yeux écarquillés par le choc. Pourquoi j'ai dit ça ? Je suis trop conne.

Elle s'approche lentement de moi et le garçon essaye de la retenir par le bras mais elle le repousse violemment puis arrivée à ma hauteur, elle se place en face de moi et me regarde avec un petit sourire mauvais.

Fille 1 : T'as dis quoi la grosse ?

Je prend mon courage à deux mains.

Moi : T'as pas compris ? Pas grave je vais répéter. J'ai dis va te faire foutre. Tu sais ce que ça veux dire j'espère sinon je te donne avec joie la définition.

Elle m'attrape les cheveux et tire ma tête en arrière pour que je la regarde dans les yeux.

Fille 1 : Tu te crois courageuse ? Tu te crois forte ? Tout ce que t'es c'est une fille pathétique et la fille d'un assassin. C'est cette image que tu laissera derrière toi toute ta vie et quand les gens te verront, c'est à ça qu'ils penseront immédiatement. Tu t'es jamais demandée pourquoi t'as pas d'amis ? Bah t'as ta réponse. À ta place, je me ferai discrète parce que le karma existe et il finira par te retomber dessus à toi et ton meurtrier de père.

Elle me frappe la tête contre les casiers puis me lâche et part avec les autres qui étaient avec elle, me laissant la, une larme qui coule sur ma joue.

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