Chapitre 6 : Quand le noir prends le pas sur les couleurs

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ça recommence...Je vais finir par me faire virer si je continu à ne pas aller au bureau . Mon patron m'a dit de bosser de chez moi si c'était possible, mais je ne fais que m'enfermer là .

-je vais devoir appeler maman, dis-je en soufflant

C'est elle qui a gardé tout les médocs, alors forcément . Je pensais que j'en aurais plus besoin, mais j'aurais dû les prendre, vraiment . J'ai attrapé mon téléphone et est appelé ma mère .

-allô, lui dis-je

-hum, me dit-elle

-j'ai besoin de mes médocs, lui dis-je

-j'arrive, me dit-elle en raccrochant

C'est toujours un plaisir de parler avec toi maman . Quelques heures plus tard, elle était là . Je lui ai même pas donné mon adresse . 

-salut, lui dis-je en la laissant entrer

-qu'est-ce qui se passe ? Me demande-t-elle

-donne-moi juste les médocs, maman, lui dis-je

-tu ne m'invites même pas à boire quelque chose ? Me demande-t-il

La relation avec ma mère est un peu tendu . On ne s'est jamais vraiment remis, elle comme moi, de la mort de mon père . Hinara Nozawa, quarante-six ans et elle est très facilement irritable .

-tu veux boire quoi ? Lui demandais-je

-rien, merci, me dit-elle

Voilà, c'est vraiment la reine pour se plaindre de quelque chose, mais de...Pfff .

-merci de t'être déplacée, maman, lui dis-je en prenant les cachets et en les rangeant en en prenant un

-c'est normal . Je t'ai apporté ça, aussi . Tu l'as laissé dans ton ancienne chambre, me dit-elle

Je suis approché et est attrapé le bout de papier . C'est une photo de papa . Mon père s'appelait Hakiyo Nozawa, il aurait, comme ma mère, quarante-six ans .

-merci pour la photo, lui dis-je en attrapant un cadre vide et en y insérant la photo

-tu es très minimaliste, me dit-elle

-j'aime pas les choses inutiles ou qui traîne, lui dis-je

-malheureusement tu as hérité ça de moi . Ton père était tout le contraire, me dit-elle

-hum...Il t'achetait des fleurs tout les premier du mois, dis-je en m'asseyant

-oui, c'est vrai . Elles fanaient tout les temps, dit-elle en ricanant

-tu as l'air d'avoir fais un travail sur toi-même, lui dis-je

-parler de ton père, c'est toujours un peu difficile, me dit-elle

-je sais, lui dis-je

-je ne suis pas la pire sur ce sujet, me dit-elle

"Flashback"

-RETIRE CE QUE TU AS DIS SUR MON PERE, ESPECE DE BATARD ! Criais-je en frappant le garçon sous moi

"Fin du flash"

-tu te souviens ? Tu avais tabassé un camarade de ton collège, me dit-elle

-il était parti à l'hôpital, dis-je

-oui, tu lui avais ouverts l'arcade et il t'avait ouverts la lèvres, me dit-elle

-j'étais très mal, dis-je en regardant mes pieds

Mon voisin est une pornstarOù les histoires vivent. Découvrez maintenant