Bonjour, Je m'appelle Autis. J'aurais 21 ans dans exactement 23 jours. Je viens de Citrania, une ville peu connue par son nom, mais très apprécié de ses habitants. Je suis gay, un détail pour certains, mais qui a toutes son importance. Je vis seul avec ma Grand-mère, la seule famille qu'il me reste. Hélas, mon père a été assassiné quand j'avais 8 ans, par un collègue de bureau qui l'envié pour sa promotion. Quant à ma mère, elle qui l'a tant aimé, n'a pu se résoudre à lui dire adieu si promptement. Elle s'est laissé tomber dans une spirale infernale d'alcools et de médicaments, puis s'en est allé peu avant Noël de mes 12 ans. De douloureux fragments de mon passé me hante encore aujourd'hui, mais je n'ai plus peur d'y faire face maintenant. Nous voilà arrivé en fin d'année scolaire, la fin d'un diplôme difficile d'obtention qui me permettra d'être un Styliste Modéliste de qualité. Maintenant, préparez vous à connaître mon histoire. Rappelez vous, je m'appelle Autis, et j'aurais 21 ans dans exactement 23 jours.
Le jour se lève, mes paupières entrouvertes aperçoivent un fond lumineux provenant des interstices de mes volets. Doucement, l'odeur de chocolat fondu me fait son apparition, cela ne peut qu'être mon adorable grand-mère cuisinant pour son unique petit-fils. Après plusieurs instants de méditation très profonde, je commence à reprendre mes forces et à sortir de ce lit douillet. En quelques secondes je rejoints ma grand-mère pour lui faire le plus gros bisou matinal qui lui est dû. Je ne pourrais jamais la remercier assez de tous ce qu'elle fait pour moi. Lorsque ma Grand-mère a perdu sa fille unique, elle en été dévasté, mais d'extérieur elle s'est toujours montré forte et bien assez pour nous deux. C'est elle qui me fait comprendre les choses de la vie et elle a fait de moi ce jeune homme déterminé et entreprenant. Je passe à table pour prendre un bon petit déjeuné préparé avec attention en parfaite compagnie. Nous discutons pendant tout le temps du repas de mes rêves d'avenir et d'un certain garçon. Ce garçon n'est autre que mon tout premier amour, plus connu sous le prénom de Arthur. Cela fait maintenant 8 mois que nous nous fréquentons, et je dois avouer n'avoir jamais connu un tel déferlement d'amour provenant d'une seule personne. 10 heures, cela signifie le début des résultats, savoir si après tout ce travail fourni j'aurais ce diplôme final avant de commencer ma vie d'adulte. Ma grand-mère, sure d'elle, me félicita pour mon acharnement qui me permettra de m'épanouir dans le métier idéal pour moi. Le moment fatidique se fait sentir, je n'ai plus qu'à entrer mes codes d'accès. La réponse fu brève, un simple mot était indiqué sur la case adjacente à celle de mon prénom. Admis. Simple et efficace, ma grand-mère ne doutait absolument pas de mes compétences. – Je t'ai élevé de manière à ce que tu puisses te surpasser pour affronter toutes sorte d'adversité mon chaton. Dit-elle tout en posant sa main sur mon épaule et ajouta - Un jour je ne serais plus de ce monde, et ce jour-là je voudrais te savoir fort pour affronter chaque épreuve que la vie mettra sur ton chemin, la vie à ses bons côtés et tu es un jeune homme formidable, ne l'oublie jamais fils. Les yeux humides, je pris ma grand-mère dans les bras pour un large moment d'affection. Après cette vague d'émotion, je pars dans ma chambre pour commencer à me préparer, car tout à l'heure sera le temps de partir. Pour fêter la fin de nos études, des amis et moi avons décidé de partir pour la soirée dans le chalet de ma grand-mère, non loin de la ville. Je serais avec Julie et Edouard, les bons amis collants qui ont commencé à se rapprocher de plus en plus jusqu'au premier baiser qui s'est avéré très concluant. Ainsi que Fred, qui est le petit copain sage et discret de mon meilleur ami d'enfance Nick, qui sera également de la fête. Le fait regrettable de cette histoire, est que mon amoureux n'a pu se libérer. Il travail si dur, je ne peux pas lui en vouloir, mais je penserais fort à lui aussi longtemps que je serais éveillé. L'heure approche, je me délaisse de mon pyjama et je pars nu, en direction de ma salle de bain qui est juste rattaché à ma chambre. Je commence à faire couler l'eau, et une fois à bonne température, je pu me laver sous une eau parfaitement agréable. Un sourire sur mes lèvres, je n'arrête pas de penser à mon futur, accompagné de l'homme que j'aime dans un travail qui me convient et pourquoi pas rêver d'un enfant également car la seule limite d'un rêve est l'imagination. Après ce lapse de temps passé sous la douche, je sors tout en prenant ma serviette accrochée pour ainsi pouvoir me sécher le corps de la tête aux pieds. Je retourne dans ma chambre et choisi ma tenue. Je commence à enfiler mon caleçon puis j'enfile mon jeans et ma ceinture et pris une chemise tapissée de roses. Je n'ai plus qu'à me coiffer et me brosser les dents. Après cette brève préparation, je prends mes clés de voiture pour partir chercher mes 4 amis. Je lance un dernier regard à ma grand-mère pour lui annoncer mon départ, mais je reviendrais demain dans la matinée pour pouvoir fêter cet évènement en sa compagnie. Cette femme est la personne la plus incroyable que je connaisse, après avoir connu la guerre, la famine et la perte du reste de notre famille, elle trouve encore la force de chanter la vie chaque matin et de louer le ciel chaque nuit. Je prends la poignée de la porte en main, et je pars pour une soirée mémorable. Je monte dans ma voiture, un dernier tour de clé, et me voilà parti pour un début de vacances festifs. Après une quinzaine de minutes, me voilà arrivé devant la maison d'Edouard, pour le récupérer lui et Julie. Le temps commence à passer, cinq minutes, dix minutes. Après trois messages et vingt minutes d'attentes, j'aperçois enfin mes chers amis en retard. Julie est une amie super gentille et dévouée, mais quoi qu'il pourrait se passer, sachez qu'elle ne sera jamais à l'heure. Un rapide coup d'œil sur ses sacs, puis nous passons au rangement de ceux-ci dans le coffre avant de partir chercher Nick et Fred. Cinq Petites minutes plus tard, nous pouvons voir le deuxième couple nous attendre gentiment sur le trottoir devant leur maison. Pile à l'heure. Après de petits échanges entre nous, nous commençons à reprendre la route pour le Chalet de ma grand-mère. C'est un chalet entouré de Sapin avec juste un lac au cœur de cette forêt luxuriante. Une demeure plutôt conséquente par sa structure mais très convivial par son aspect. Après une retraite bien mérité, ma grand-mère a décidé d'investir dans cette demeure. Elle y passe une grande partie de son temps, malgré sa distance et son acquisition récente, elle dit s'y sentir comme dans son ancienne maison, elle dit ne pas s'y sentir seul. Je n'ai jamais compris à quoi elle faisait référence et j'étais assez inquiet de demander. Une petite demi-heure de route nous séparer de l'arrivé. Mes amis décident donc d'avancer un peu le commencement des hostilités. Nick sort un joint de cannabis précieusement roulé et rangé au préalable dans la poche de sa veste, l'allume et le fait passer à qui veut le prendre. Bien sur tous ont accepté. Après Dix minutes de trajet, le temps commence à se couvrir et la pluie fait son œuvre. Le temps était devenu gris menaçant, et j'ai en horreur le fait de conduire sous un petit déluge. Le chemin continu dans une ambiance très relaxante, tous ris, excepter Julie et Edouard, un petit peu occupé à s'embrasser montrant l'affection démesuré qui se portent mutuellement. L'itinéraire jusqu'à notre destination est fort sympathique, mais j'espère ne pas me sentir trop à l'écart au vu de ma solitude amoureuse d'aujourd'hui. Nous arrivons près du chalet, dans la forêt non loin, avec la foudre en accompagnement de la musique et le temps toujours aussi hasardeux. Je passe sur un pont en pierre vieux d'une centaine d'année, à quelques mètres du chalet. Sur la route, en s'y approchant, une silhouette sombre vêtu d'un long manteau à capuche se tenait là, debout devant la porte d'entrée, avec une hache qui l'accompagne dans la paume de sa main. Je me suis arrêté à une cinquantaine de mètres de cet individu, avec mes pensées remplis de questionnement sur la présence de ce personnage. On commence tous à se poser des questions, savoir si nous devons allez le voir pour qu'il parte ou bien lui faire peur. A l'inverse, c'est lui qui nous a surpris en courant à toute allure vers ma voiture. J'ai eu le réflexe de verrouiller toutes les portes de l'intérieur sans trop comprendre sa réaction. Nous sommes tous terrifié mise à part le grand Edouard, qui était totalement prêt à descendre pour se mesurer à l'inconnu, mais mon système de verrouillage a été enclenché et je ne compte absolument pas déverrouiller quoi ce soit. L'individu essai d'ouvrir ma portière en insistant sur ma poignée, il lève sa main et enlève enfin sa capuche pour dévoiler son visage. La peur qui nous accaparer fini par disparaître pour laisser place au soulagement, le soulagement de voir que finalement cet individu n'était autre que mon très cher Arthur ! Je n'aurai jamais pensé être aussi surpris par lui. Les autres n'était pas aussi content que moi de son apparition au vu de cette petite frayeur, mais moi, je n'avais qu'un nuage de bonheur en voyant son doux visage. – Mon amour je pensais que tu travailler aujourd'hui, on ne s'attendait pas à te voir mais la surprise me comble vraiment. Dis-je sortant de la voiture. Il me prend dans ses bras, puis dit. – Je ne voulais pas te laisser, j'ai envie de participer à cette soirée pour te féliciter de ton diplôme. Après un agréable câlin et quelques baisers volés, tout le monde sort de la voiture en prenant leurs sacs respectifs. Je ferme la voiture et je la laisse devant le chalet de ma grand-mère. On se dirige tous vers la porte en rigolant sur cette histoire, drôle après coup. – mais au fait, à quoi te sert cette hache que tu ne lâche pas depuis tout à l'heure ? dit Edouard d'un air pensif. Arthur lui, pour rassurer tout le monde répond très vite. – Ne t'inquiète pas ce n'est rien, je l'ai trouvé en venant ici, je pensais que c'était à la grand-mère d'Autis. Nous arrivons devant la porte d'entrée, j'inserts la clé à l'intérieur de la serrure et ouvre enfin cette porte. L'intérieur est à l'image de ma grand-mère, doux et chaleureux avec une bonne touche luxueuse. Une grande cheminée se trouve à droite au centre du mur, un canapé d'angle blanc couvert d'oreillers ne se trouve pas très loin de la cheminée pour un espace détente relaxant avec de magnifiques rideaux rouges le long des fenêtres. Tout le monde commence à stocker leurs bagages à l'entrée et je les laisse s'installer le temps d'aller chercher les verres et quelques alcools avec des petites choses à grignoter. Je pose gentiment tout ça sur la table basse du canapé à côté des joints de cannabis préalablement roulé par Nick, à la disposition de quiconque en aurait l'envie. Les heures passent, les bouteilles se vides, les joints diminues et tous le mondes se sent plus qu'à son aise. Fred se trouve entre les jambes de Nick, les yeux à moitié fermé tout en s'enlaçant paisiblement. Julie et Edouard chante une chanson qui n'a rien à voir avec ce qui passe sur la playlist musicale. Et moi et Arthur discutons un peu de mon diplôme tout en regardant Julie et Edouard faire leur spectacle. La nuit tombée, Julie et Edouard sont les premiers à monter à l'étage avec leurs bagages. Nick et Fred les talonne de près, Fred n'ayant pas l'habitude d'une trop grande consommation d'alcool tanguait dans les escaliers malgré l'aide de son amoureux. La musique s'adoucit, il ne reste plus qu'Arthur et moi, au milieu de ce salon immense, lui et moi, seul sur ce lit d'oreiller. L'un contre l'autre, près de cette cheminée, on s'embrasse d'une passion excitante, sa main me caresse l'entièreté de mon corps en s'attardant sur ma protubérance. Le moment sembler venir, ce moment où on sait ce qui va être fait, lui et moi, seul. J'en ai enfin la conviction, ma première fois sera cette fois-ci, dans ce moment présent. La qualité de son toucher ne me fait qu'en vouloir d'avantage, je caresse lentement sa verge au travers de son fin caleçon, sentant la véritable longueur de son pénis. Je tremble de tous mes membres, la passion est trop forte. -Je te veux tout entier. Me susurre-t-il à l'oreille avec un souffle chaud. Ce qu'il ignorait jusqu'à présent, c'est que j'ai déjà consentis à m'offrir totalement à ce jeune homme. La perfection de ses baisers me donne de vague frisson plus ou moins intense. Ses lèvres s'échappes des miennes pour envahir mon cou. Je me laisse à lui, mais en restant prêt à bondir d'un instant à l'autre. Ma main toujours en mouvement, je décide de la monter légèrement pour atteindre ses magnifiques abdos détaillés. La sensation de se toucher est épique, Je me sens prêt à lui donner ce qu'il désire tout en me sentant vulnérable à son appel sexuel. La peur et la joie ne m'ont guerre épargnée, je n'ai jamais ressenti toutes ses émotions en une seul fois. Je retire son tee-shirt pour laisser ses abdos apparent et l'embrasse partout tout en léchant et mordillant ses tétons. Il me déshabille en commençant également par mon haut, puis continue en enlevant mon pantalon déjà déboutonné me laissant en caleçon. Je suis ce mouvement et je lui enlève son pantalon rapidement. Son caleçon est parti avec, il se retrouve totalement nu face à moi avec une érection totale. Il s'allonge sur moi, m'embrasse tout en descendant progressivement sur mon corps jusqu'à arriver entre mes jambes. Il m'embrasse et me lèche le gland, cette première sensation prodigue un bien excessif. Il commence à l'enfoncer au fond de sa gorge et débute des va-et-vient de plus en plus rapides. Après quelques minutes à me sucer, il s'arrête et me regarde, son souffle court par cette action et me dit. – Je vais te préparer. Je n'ai pas compris sur le coup alors je le laisse faire, il sait ce qu'il fait. Il commence à se sucer un doigt et sans que je me doute de quoi que ce soit, il me l'enfonce délicatement dans l'anus. C'est une sensation particulière, légèrement douloureuse mais bon à la fois. Après quelques minutes il en rajoute un, puis un autre. Tout ceci me faisait frissonner de l'intérieur, c'était exquis. Après environ une bonne demi-heure de préparation, il me regarde, s'allonge et me tire vers son énorme pénis. Je ne suis pas rassuré d'avoir cette taille en moi mais je sais qu'il sera doux. J'attrape son membre fermement et le suce doucement, tout en le masturbant. De temps à autre je m'attarde sur son Gland avec ma langue pour bien humidifier l'ensemble, et lorsqu'il s'est senti prêt, il m'a retourné assez rapidement. Je suis par terre sur mes quatre membres et je sens son extrémité me caresser l'anus. Il commence un petit balancement des hanches, faisant rentrer son gland à l'intérieur de moi. Un petit picotement s'est fait sentir mais l'excitation est vite arrivée à son paroxysme. Plus le temps passait et plus son membre viril entré en moi. Je ne peux pas vraiment expliquer ce que je ressens à cet instant, mais je sais que je veux retrouver ce sentiment autant de fois que possible avec lui, je l'aime. Une bonne grosse demi-heure est passé, maintenant il rentre entièrement à une allure très plaisante. Il m'allonge complètement en restant en moi et commence à y aller un peu plus fort et plus rapide. Il pousse de petits gémissements, et sans que je m'y attende, il lâche tout son sperme sans se retirer, j'ai à mon tour posé des petits sons, car sans y toucher, mon sperme a jaillit également. L'épuisement et la chaleur nous entouraient. Après s'être allongé quelques instants ensemble pour nous remettre de nos émotions, nous sommes partis nous laver un petit peu, car j'en ai vraiment besoin. Le moment est venu d'aller se coucher je l'enlace une dernière fois en lui disant combien je l'aime et je me suis endormi sans difficulté. Le matin au réveil, je me suis retrouvé seul sur mon lit d'oreiller. J'ai tout de suite tenté de retrouver Arthur mais lui et ses affaires n'était déjà plus là. Je pense qu'il a dû reprendre le travail rapidement mais j'aurais adoré avoir un petit mot avant qu'il ne parte. Mes amis ont commencé à se réveiller chacun leur tour et m'ont aidé à tout nettoyer. Ils m'ont demandé où été Arthur, mais ne sachant pas vraiment je leur ai dit qu'il était reparti travailler. Après ses quelques échanges pendant ce nettoyage, nous commençons à partir vers la voiture. Un dernier coup d'œil à l'intérieur du chalet, et la porte se retrouve verrouillé. Nous partons en discutant tranquillement pendant le trajet, je dépose tout ce petit monde à leur domicile et rentre enfin chez ma grand-mère. J'ai tellement hâte de la retrouver et lui parler d'absolument tout. J'arrive devant chez nous, ouvre la porte et pose enfin mes sacs. Il est Onze heure et ma grand-mère n'est pas dans le salon et son sac est resté accroché au porte manteau. Je commence à la chercher tout en l'appelant plusieurs fois. J'ai un très mauvais présentiment, je ne sais pas ce qu'il se passe. Je me dirige vers sa chambre et j'ouvre la porte. Le seul sentiment que je ne voulais pas revivre à refait surface, je n'aurais jamais dû partir.
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Autis
RomanceAutis est un jeune homme homosexuel de 20 ans, ayant comme seule famille sa grand-mère. après la mort récente de sa grand-mère et la trahison de son petit ami, la vie d'Autis ne va pas se passer comme prévu. Il commence à sombrer petit à petit dans...