une nuit imprévue

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Dans une nuit pluvieuse à Toronto, James Gillies, traqué et blessé, cherche désespérément refuge. Il frappe à la porte de William Murdoch, son cœur battant la chamade. William, surpris de le voir là, hésite un instant avant de le laisser entrer, ignorant les avertissements de son esprit rationnel, sûrement à cause des trois verres de Whisky bu dans la soirée.

William: "Gillies, que faites-vous ici?"

James, haletant et en proie à la douleur: "Je... J'ai besoin d'aide, William. S'il vous plaît..."

William, décontenancé mais restant une pointe de compassion acquiesce et le conduit à l'intérieur. Pendant que James fouille discrètement dans les affaires de William, celui-ci lui offrit des vêtements propres et des bandages.

William: "Tenez prenez cela, mais ne touchez à rien d'autre."

James, feignant l'innocence: "Bien sûr, William."

Pendant qu'il cherche, James remarque le chapeau caractéristique de William et ne peut résister à l'envie de le prendre. William le surprend en train de l'essayer.

William,la voix vacillante du à la boisson qui commençait à lui montrer à la tête: "Ce chapeau vous va à ravir, Gillies." Il devenu alors livide à l'entente de ses paroles.

James, le fixant intensément: "Vous trouvez?"

Une tension électrique s'installe entre eux, et soudain James se rapprocha très près de l'inspecteur, trop près, sans prévenir il embrassa William de force. Ce dernier, surpris et choqué, le repousse instinctivement, mais il pu s'empêcher d'apprécier à ce contact inattendu.

William, essoufflé: "Qu'est-ce que vous croyez faire, Gillies?"

James, les yeux brillants d'une passion interdite: "Je ne sais pas. Je ne peux pas contrôler mes sentiments pour vous, William."

William, le regard empli de confusion : "Vous êtes un meurtrier, Gillies. Je...je ne comprends pas.

Mais avant qu'il puisse dire autre chose, James s'approche de nouveau, cette fois plus doucement, et caresse tendrement le visage de William.

James, d'une voix rauque: "Peu importe ce que vous pensez de moi, William, je sais que vous ressentez quelque chose aussi."

William, se débattant avec ses sentiments: "C'est ridicule. Vous... vous vous méprenez. "

Vous avez juré ma perte Où les histoires vivent. Découvrez maintenant