Je commence à m'aventurer dans les tonnes de cartons du grenier de ma grand-mère. Après de très longues recherches je me mis à enfin trouver quelque chose d'intéressant se n'était pas se que je cherchais mais je me mis a l'ouvrir. Mon journal intime se genre de choses qui n'est qu'une chose pueril utiliser pour garder de vieux souvenirs ou des choses encore plus gênantes je me rappelle y avoir été très investie mais jusqu'à ou? Je me reconcentrée sur la première page qui commence par une date dans la marge puis:
“Bonjour je m'appelle Stella, je viens de commencer mes études au lycée et je suis assez perplexe par apport à tout se qu'ils se passe dans ma vie c'est dernier temps donc pour toi et surtout pour moi je vais t'écrire se qu'il m'arrive, j'espère que tout se passera bien et que je n'aurais pas de mal a me faire d'amis à vrai dire j'écris car ma psychologue me l'a conseiller elle me décris comme une "éponge qui cachent toutes émotions" mais je suis sur qu'elle exagère bref je n'ai plus beaucoup de temp et je vais rater mon bus à plus!”
“Salut toi j'espère que ça va depuis se matin t'inquiète pas je vais tout te raconter même si en réalité je te l'impose plus qu'autre chose.. Aujourd'hui était le meilleur jour de ma vie je me suis très vite entendu avec toute ma classe j'espère qu'ils ne remarquerons rien d'anormal sur moi ou qu'il ne me trouve pas bizarre mais en attendant sa se passe super bien même si j'ai l'impression que ma "meilleure amie" me cache quelque chose mais bref on se reparle dès que j'ai des choses intéressantes !”
Je passer à la page suivante sans me poser de réel question et me mise a retourner plonger dans ma lecture qui repris deux mois après les premiers écrits.
“Salut toi! J'espère que tu vas bien même si c'est stupide de poser la question a un livre de tourment à en devenir et de questionnement simplet. Depuis que je n'ai plus écrit beaucoup de choses se sont passées je me sens seul. Même si je suis "populaire" je n'ai pas l'impression d'être entourée je déteste sa cette impression sans cesse de solitude, de plus je n'ai l'impression de parler a personne à cœur ouvert comme je t'écris la mais je vais bien je ne fais pas de bêtises promis!”
Je ne me rappelais plus réellement de se sentiments mais après avoir lu tout sa je fus comme submergée par cette dernière comme si toute la solitude que la moi qui écrivait me revenait soudainement. Je m'arrête un instant respire et reprend lentement la suite des évènements qui eux sont datés peut de temp après, une semaine exactement.
“Salut toi? Désolé je t'avais promis mais je n'ai pas réussi..”
Réussi quoi ? Je m'interroger ne voulant continuer ma lecture mais se sentiment de curiosité pris le dessus et je me mis a lire la suite qui était écrite le lendemain.
“Salut toi. Je me disais que je ne pouvais pas te laisser sans savoir se qu'était ma bêtises. Enfaîte je ne mange plus réellement c'est dernier temps je perd l'appétit pendant que j'entends mon corps crier famine mais je n'ai aucune envie de manger.”
Après avoir lu se passage une affreuse douleurs au ventre me fit un mal de chien je ne sentais plus rien ormis se mal qui se creuser en moi sans l'appétit qui venait généralement avec, pour penser à autre chose je me remis à lire combinant toute les pires sentiments que je pouvais contenir. Sa reprenais 1 mois après :
“Salut toi, j'espère que toi tu va bien contrairement à moi. Désolé de ne pas t'avoir écrit depuis un moment je cherchais juste le bon moment pour le faire car je suis préoccupée par des camarades. Enfin. Des ex camarades. Maintenant il ne sont plus rien. Il n'ont Qu'une chose en bouche "Stella le squelette" ou encore d'autres choses du genre soulignant mon poids. Oui c'est malheureux mais sa arrive au lycée.”
Je ne ressentis rien cette fois. Si a vrai dire je ressentais plusieurs choses la colère, la frustration, la déception, l'isolement, la faim...
“Salut toi, je sais pas si tu sais mais tu est à l'hôpital! Fin, moi, mais en sois se livre et de moi à moi non? J'ai encore fait une bêtise encore pire et n'ai pas écrit depuis trois mois. Les trois mois les plus long sûrement.
Tu te demandes sûrement comment j'en suis arrivé la? C'est simple les critiques on continuer. Tu l'est croyais amis mais il t'on abandonné lâchement et maintenant tu te sens seul pendant les pauses alors tu passes le plus de temps avec tes professeurs et te concentre sur tes notes qui augmente. Alors quand tu pensais que tout irais mieux il on trouver autre chose. "O regarde la suceuse de prof", "c'est pas celle qui passe sous le bureau pour avoir au moin le bulletin ?"...Alors tu arrêtes et les gens ne disent rien mais tu te sens encore plus seul et commence a regarder chaque chose pouvant te faire réagir puisque tout emotiellement avait déjà été fait. Tu commencer par de simples petits pincement, puis des coups à main tu ne ressentais plus le soulagement de te punir alors tu commences à te faire avaler tout les médicaments que tu trouve et après que tu sois au plus bas que la douleur sois intense tu te vois dans le miroir de la salle de bain frêle, sans âme, faible. Et une seul idée. Souffrir. Tu fracasse le miroir te fesant saigner le poignet et tu commences à sentir l'effet des médicaments et te met a regarder les mains pleines de sang et la tu essaies de prendre un bout de miroir pour en finir mais tu t'evanouie et entend des siren tu entends tout autour de toi mais tu ne bouge plus. Sa demande trop d'efforts. Et tu te rends compte que tu est bloqué.”
Je frissonner. Chaque émotions. Chaque douleur. Elle me revenait. Je ne pouvais me résoudre à m'endormir pour toujours alors j'ai simplement lus la dernière lignes avec le peu d'énergie qu'il me restait :
“Mais après tout resté coincé comme ça se n'est pas se dont nous avons toujours rêvé ? Restée simplement à essayer de tout réécrire?”
Je me réveiller dans le grenier de ma grand mère j'y étais surment pour trouver quelque chose alors je me mis a fouiller..