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Une effervescence prend le contrôle, puis se gout amer, plus for que cette effervescence si éphémère, quand ça nous arrive ce n'est pas l'idée de la sérénité futur qui nous submerge ni l'idée d'un "ce n'est pas grave" mais bien la sensation d'un étaux qui se ressert autour de notre gorge, cette étaux qui comprime cette air qui est censé afflué dans celle-ci . L'impression que l'épée Damoclès sabbat sur nous . Puis quand des rires surgissent un mal-être frissonnant, entre en collision de l'insécurité, ressert encore cette étaux .
Cette chose énigmatique qui ce produit s'appelle plus communément "crise d'angoisse" un état second au que je classifirais du paroxysme du stresse .
Elle gravit des échelons peut profitable à son possesseur . Nous pousse dans nos retranchement, nous fait nous confronter à cette dure réalité, en lui ajoutant encore une teinte d'insurmontable à la vu de ce futur proche .
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