Mariage sous Contrainte

Chapitre 2

Zeyneb

Moi et Zein somme dans la voiture depuis à peu près 5 minute sur le tableau de bord il est noté 200 km/h, je vais mourir je le sens, je suis dans la voiture d'un fou il va tellement vite et il roule comme une personne qui pense être dans Fast and Furious, de base j'aime bien ce genre de films mais ça veut pas dire pour autant que j'ai envie de le vivre. Le paysage défile tellement vite qu'on n'a même pas le temps de pouvoir capter de quoi il est fait.

Zein

Zeyneb a l'air de ne pas aimer la vitesse, elle s'y adaptera. Je la vois pétrifier de la façon dont je roule, elle essaie de se concentrer sur le paysage, elle tente de le cacher ce qui se distingue à des centaines de mètres. Ce que je ne sais pas en revanche, c'est comment elle va réagir quand elle va voir tous les homme qui me sert de gardes du corps dans la maison.

Zeyneb

Nous voilà arrivée devant cette grande demeure, cette grande villa, infesté de gardes du corps. La villa est immense elle est splendide, je pense que c'est le seul avantages de ce mariage.

- Tu rentres ? Tu n'as jamais vu de villa de toute ta vie ?, m'interroge t-il presque saouler de la façon dont je regarde sa grande maison.

- Oui, oui, dis-je d'une voix disruptive, et pour ta gouverne non mes parents sont peut être riches mais il m'on pas laisser l'occasion d'aller dans une villa de ce genre, je ne suis pratiquement jamais sorti de chez moi, il me regarde abasourdie comme si il s'y attendait pas, mais continue comme curieux de ce que je vais dire ensuite, mes parents sont trop strict, ils ont peur qu'il m'arrive quoique que ce soit, à chaque fois que je sort je suis avec un garde du corps, j'en avais marre donc je sortais plus.

On rentre et il me demande de m'asseoir sur son sofa.

- Pourquoi sont-ils aussi effrayés ?

- Je me suis fait kidnapper quand j'avais 15 ans, il m'on chercher pendant 2 ans, depuis ils ne me lâchent plus.

- Bon il faut qu'on fasse le point. dit-il d'un ton froid en changeant complètement le ton qu'il avait juste avant. Tu ne rentres en aucun cas dans la petite maison juste là. dit-il en pointant le tout petit bâtiment au fond du terrain.

- Pourquoi ?

- Je vais être claire : Ne. cherche. pas. à. comprendre.

- Ok ne t'inquiète pas de toute façon avec tout les gardes posté devant ça a l'air glauque ton truc.

- Si tu as besoin de quoique que ce soit, tu m'appelle, et si je ne répond pas tu t'adresse a Jake, le chef des gardes du corps ok ?

- Ok.

- Bon il faut que j'aille dormir. Ah oui je sais que tu ne te sens pas à l'aise mais fait comme chez toi, c'est aussi chez toi tu es ma femme, tu es une Fayad à présent donc tu es chez toi. Ta chambre est la 1ère à gauche, dit-il en pointant l'endroit exact. Bonne nuit.

- Bonne nuit.

J'allais dans ma chambre, j'était crevé donc je m'endormis directement, sans même avoir eu le temps de voir comment la chambre était.

Le Lendemain

Je me lève dans le plus grand des calmes. La chambre est bien a vrai dire. Il y a un lit king size super confortable, avec un mini salon, plus un grand dressing qui est encore vide je pris mes quelque affaire dans 3, 4 grande valises que je ne vais pas vider tout de suite, et pour la fin une salle de bain intégrer immense, elle est composé d'une baignoir en marbre, d'un robinet en marbre et des toilettes en marbre.

Il est 9h du matin, je décide de m' habiller et de descendre. Une fois descendue je vois sur la table un grand petit déjeuner déjà près, je ne sais pas si j'arriverais à tout manger.

- Vous voulez un café, un chocolat chaud ou un thé pour votre petit déjeuner ? Dit la cuisinière avec le sourire au lèvre.

- Un grand café au lait s'il vous plaît, savez-vous où est passé Zein ?

- Il a pris son petit déjeuner et il est partit régler une affaire. Il arrivera au plus vite, ne vous inquiétez pas.

- Merci, quel est votre prénom s'il vous plaît ?

- Rosa.

- Merci Rosa.

Je repensais à ce que m'avait dit hier soir Zein, pourquoi m'a-t-il dit ça comme ça ? Je suis une Fayad à présent et ça sans même qu'on m'ai demander mon avis. Je devais l'accepter quoi qu'il en sois. Je ne suis plus Zeyneb SABAH mais Zeyneb FAYAD à présent.