Dans ce monde les humains sont une espèce en voix critique d'extinction.
Les loups garou ne cesse de les chasser et de les réduire en exclavage, on les oblige à faire les tâches les plus ingrates et les plus chanceux finissent réduit a l'état d'obje...
Ça fait maintenant deux semaines que je vis chez Leeroy et le couple Alpha.
Je ne manque de rien à part une chose dont je me suis rendu compte et que je pourrais avoir besoin.
Et pour ça je suis allé voir Leeroy dans son bureau au quartier général de la meute.
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Bien sûr comme j'ai encore un peu peur Gwendolyn m'a accompagné.
Leeroy: Un travail ?
Célinie: Oui.
Leeroy: Pourquoi en veux-tu un ? Tu ne manques de rien pourtant.
Célinie: Je sais et pour ça je vous en suis vraiment reconnaissante a toi et tes parents mais vivre a votre crochet ne me plaît pas. Je veux pouvoir me payer ce qui me fait envie moi-même.
A ces mots Leeroy affiche un sourire.
Leeroy: Décidément tu est vraiment quelqu'un d'a part Célinie.
Célinie: Je ne suis pas sûre de comprendre.
Leeroy: Oublie c'est rien d'important.
Dit-il en ce levant.
Il vient alors ce poster face a moi et pose sa main droite sur mon épaule du côté opposé.
Leeroy: Je suis content. C'est la première fois que tu exprime ce dont tu as envie. C'est d'accord je t'autorise a avoir un travail au sein de la meute.
Célinie: Merci beaucoup.
Leeroy: Derien.
Il retourne s'asseoir a son bureau.
Leeroy: Es-ce que tu sais quel métier tu veux exercer ?
Célinie: Parce que j'ai le choix ?
Leeroy: Bien sûr.
Célinie: Je n'y ai pas réfléchi. Je sais vraiment pas.
Leeroy: Alors je te laisse y réfléchir et dès que tu auras trouvé préviens moi et je te dirai si c'est possible.
Célinie: Compris.
Dis-je en même temps qu'un mal de tête bref mais assez douloureux me prend.
Leeroy: Célinie qu'es-ce qui t'arrive ?
Dit-il en arrivant devant moi en un éclair.
Gwendolyn: Célinie fais des migraines passagère depuis son arrivée. Et parfois des crampes assez douloureuses la prends.
Leeroy: Pourquoi ne m'avoir rien dit ?
Célinie: Parce que ce n'est rien de grave. C'est assez espacé et très bref. La preuve je n'ai déjà plus mal.
Leeroy: Oui mais quand même j'aurais aimé être tenu au courant.
Célinie: Désolé de te l'avoir caché. C'est juste que comme tu as beaucoup de travail je ne voulais pas t'encombrer encore plus l'esprit.
